Origines
Le nord de la Finlande est peuplé depuis la préhistoire par les Samis, peuple finno-ougrien.
La côte sud-ouest était originellement peuplée par des tribus germaniques (scandinaves). Une deuxième vague migratoire de populations finno-ougrienne originaires des régions de la moyenne Volga dans l'Oural, s'installant dès les premiers siècles de l'ère chrétienne et se mélangeant aux populations germaniques formant le peuple finnois. Ces peuples ayant effectué cette migration, sont également à l'origine du peuplement de l'Estonie voisine et de la Hongrie, d'où la parenté linguistique entre les langues finnoise, estonienne et hongroise (classées parmi les langues ouraliennes). Cependant, l'étude des groupes sanguins montre que les Finlandais sont aux trois quarts indo-européens (et notamment scandinaves).
Jusqu'au XIe siècle, la Finlande reste un territoire habité par des tribus peu belliqueuses et sans cohésion politique (ce qui facilita d'ailleurs leur rapide soumission). Trois régions se distinguent : le Sud-Ouest (aux alentours de la future ville de Turku), le Sud (aux alentours de la future Helsinki) et la Carélie. Jusqu'à la christianisation de la Scandinavie, les raids vikings poussent les Finnois à se réfugier à l'intérieur des terres, vivant des ressources des lacs et des forêts.
À l'ouest, les royaumes de Suède et du Danemark existent déjà, et on trouve à l'est la principauté de Novgorod récemment fondée par les Varègues. L'occupation de la Finlande devient un enjeu stratégique pour ces puissances nouvellement chrétiennes (catholiques à l'époque pour la Suède et le Danemark, orthodoxe pour Novgorod). En 1157, la Finlande fut occupée par le roi de Suède Éric IX le Saint.
Moyen Âge et influence suédoise
C'est ainsi finalement la Suède qui colonise et évangélise la Finlande, à partir du XIIIe siècle. L'archevêché d'Åbo (Turku) est fondé ainsi que la cathédrale et le château. De ce fait, Turku est considéré comme la plus vieille ville de Finlande, fondée en 1229. L'influence suédoise (qui se ressent encore aujourd'hui) s'imprègne à partir de cette époque. La noblesse est suédoise (il n'y avait pas d'équivalent finnois de royauté et de féodalité tel qu'ils existent en Europe occidentale) et la langue officielle est le suédois. Il ne s'agit pas cependant d'une occupation ou d'une colonisation. En effet, la Suède et la Finlande sont deux entités fusionnées dans un même royaume et les Suédois se montrèrent en général respectueux de l'identité finlandaise. L'essor économique du pays continue, notamment grâce à la Hanse.
Durant la Guerre russo-suédoise de 1495-1497, la forteresse de Vyborg est assiégée par les troupes russes pendant trois mois en 1495 et résiste victorieusement. L'année suivante, les armées russes envahissent la Finlande jusqu'à Hämeenlinna et dévastent les régions traversées. En 1497, une trêve est conclue entre la Suède et la Russie.
Pour contrer la puissance de Reval, le roi Gustave Vasa fonde en 1550 Helsinki (le nom de cette ville est une version finnisée du suédois Helsingfors qui signifie « la cascade des Helsingar »), mais cette dernière n'est guère plus importante qu'un village de pêcheurs, et ce pendant plus de deux siècles. Helsinki deviendra ensuite, en 1812, la capitale du Grand-duché de Finlande rattaché à l'Empire russe.
En 1548, Mikael Agricola, qui deviendra évêque de Turku six ans plus tard, traduit le Nouveau Testament en finnois.
En 1554, les hostilités reprennent entre la Suède et la Russie. L'année suivante, les troupes suédo-finlandaises échouent à prendre Chlisselbourg. En 1596, c'est une armée russe qui échoue à nouveau devant Vyborg. Le traité de Novgorod, en 1557, met fin à la guerre et instaure une trêve qui devrait durer quarante ans.
Grand-Duché de Finlande
La Finlande sert à maintes reprises de champ de bataille et d'enjeu entre les empires suédois et russe. À l'époque napoléonienne, la Suède dut l'abandonner au tsar Alexandre Ier par le traité d'Hamina ou Fredrikshamm du 17 septembre 1809. Le pays devint dès lors un grand-duché autonome de l'empire russe. Helsinki devient capitale du Grand-Duché en 1812 et c'est à partir de cette époque que l'influence de la ville commence à croître. Contrairement à l'époque suédoise, la Finlande n'est pas un territoire à part entière de l'empire, mais une région autonome. Les tsars se montrèrent plus ou moins respectueux de cette autonomie, et surtout tentèrent tous, à l'exception notable d'Alexandre II, de russifier cette région. C'est cette autonomie qui fut à l'origine du mouvement pour l'indépendance du pays à partir du XIXe siècle.
Alexandre II témoigna d'une remarquable libéralité vis-à-vis du peuple finlandais (comme plus généralement de ses autres sujets) et favorisa l'émergence d'une littérature nationale. C'est donc notamment à travers la culture et ses intellectuels que la Finlande va voir se développer son mouvement pour l'indépendance. Ainsi la publication le 28 février 1835 d'un recueil de trente-deux chants inspirés des contes traditionnels de Carélie sous le nom de Kalevala (le Pays des héros) par un médecin de campagne finlandais, Elias Lönnrot, est devenue le fondement de la culture finlandaise. Cette œuvre a par la suite inspiré d'autres grands artistes finlandais, comme le peintre Akseli Gallen-Kallela (1865-1931) et le compositeur Jean Sibelius (1865-1957), et le 28 février est encore commémoré comme une fête nationale en Finlande. Les écrits de Johan Ludvig Runeberg ont également attisé le mouvement pour l'indépendance. La reconnaissance des Finlandais pour le « tsar libérateur » est encore vive, puisque sa statue trône toujours aujourd'hui sur la place du Sénat.
Accession à l'indépendance
Le 20 juillet 1906, le tsar Nicolas II, en butte à de nombreuses difficultés, accorde de nombreuses libertés aux Finlandais (dont le droit de vote pour les femmes). La Finlande obtint aussi une reconnaissance internationale symbolique, lorsqu'elle fut autorisée à participer, sous ses propres couleurs et non celles de la Russie, aux Jeux olympiques de Stockholm en 1912.
Le 6 décembre 1917, profitant du désordre causé par la révolution bolchévique, la Finlande déclare son indépendance, reconnue par le pouvoir soviétique le 4 janvier 1918. C'est alors le début de la guerre civile finlandaise entre Rouges soutenus par le pouvoir révolutionnaire russe jusqu'au traité de Brest-Litovsk, et Blancs alliés à l'Allemagne. Un général finlandais, ancien officier de l'armée tsariste, le baron Carl Gustaf Emil Mannerheim commande les troupes gouvernementales blanches et profite du renfort de troupes allemandes. Celles-ci l'emportent sur les gardes rouges à Vyborg le 30 avril 1918.
L'indépendance acquise, un débat a lieu entre les partisans de l'instauration d'une république et les tenants de l'instauration d'un régime de type monarchie constitutionnelle. Les Blancs vainqueurs de la guerre civile sont majoritairement pour l'option du régime de la monarchie constitutionnelle et sont politiquement et culturellement proches des milieux dirigeants du Reich allemand. À peine un mois avant la défaite allemande, les dirigeants Finlandais choisissent pour roi un prince allemand. Un temps envisagée, l’option de choisir pour roi du nouveau trône de Finlande l’héritier des Hohenzollern, le Kronprinz, fils de l’empereur Guillaume II, est rapidement abandonnée. La candidature d'un autre prince allemand est alors envisagée : celle de Frédéric-Charles de Hesse-Cassel. Nous sommes alors en 1918, la victoire sur le front de l’ouest est encore incertaine entre les belligérants allemands, français, anglais et américains. L’ultime offensive allemande est arrêtée lors de la Seconde bataille de la Marne. Malgré les renforts des troupes allemandes revenue du front de l’est, l’avancée allemande est arrêtée et il devient évident que l’armée allemande ne peut plus remporter la guerre. Charles de Hesse s'efface rapidement et Mannerheim devient régent avant de céder la place à son tour avec la proclamation de la République le 17 juillet 1919, mettant ainsi un terme au royaume de Finlande.
Seconde guerre mondiale
Après avoir tenté, en vain, de négocier un échange de terres avec la Finlande (Carélie) ou la location de bases (presqu'île de Hanko), l'Union soviétique lance la Guerre d'hiver en novembre 1939.
L'objectif principal de l'URSS était — d'abord par la négociation, ensuite par la force — de protéger d'une éventuelle attaque allemande la ville de Leningrad, alors à une trentaine de kilomètres de la frontière. Elle pouvait jouer sur le fait que les protocoles secrets du Pacte germano-soviétique plaçaient la Finlande dans la zone d'influence soviétique, et donc qu'une telle attaque ne surprendrait pas l'Allemagne nazie.
Le conflit permit également à Moscou d'installer dans la ville frontalière finlandaise de Terijoki (maintenant Zelenogorsk), un éphémère régime fantoche, la République démocratique finlandaise, dirigé par Otto Wille Kuusinen, fondateur du Parti communiste de Finlande.
Malgré les réussites des soldats finlandais, qui utilisent à grande échelle le devenu célèbre « cocktail Molotov », emprunté aux nationalistes espagnols de la guerre civile espagnole, ceux-ci sont bien inférieurs en nombre aux Soviétiques. La Finlande s'incline par le traité de Moscou du 12 mars 1940, et cède à Staline 10 % de son territoire (la province orientale du pays, la Carélie, qui appartient encore à la Russie aujourd'hui), mais reste indépendante, contrairement aux pays baltes.
En 1941, quand l'Allemagne attaque l'URSS (opération Barbarossa), la Finlande veut prendre sa revanche et joint ses troupes à celles de l'Allemagne nazie pour attaquer l'URSS et récupérer les territoires perdus ou plus si possible. Elle arrête toutefois l'offensive au lac Onega, et ne coupa jamais la ligne de chemin de fer de Mourmansk ni n'attaqua Leningrad, malgré les demandes pressantes de Hitler.
En 1944, l'Armée rouge perce le front, et l'armée finlandaise se replie jusqu'à l'ancienne frontière. Elle signe alors un armistice avec l'URSS, armistice de Moscou, stipulant le départ du corps d'armée allemand qui stationnait au nord de la Finlande. Son évacuation ratée déclenche la guerre de Laponie, contre les Allemands cette fois-ci. La Finlande échappe de peu à une annexion pure et simple par l'URSS. Par le traité de Paris du 10 février 1947, elle recouvre son indépendance, amputée non seulement de la Carélie mais aussi de territoires supplémentaires (la région de Petsamo et de l'isthme de Carélie), verse un lourd tribut aux Soviétiques et doit se résigner à subordonner sa politique étrangère à celle de l'URSS en échange de la préservation de ses institutions démocratiques (ce qu'on appela jusqu'à la fin de la Guerre froide la « finlandisation »). Le paradoxe de cette dette, c'est qu'elle devient une source de prospérité pour le pays. L'obligation de payer des réparations à l'Union soviétique contraint la Finlande à s'industrialiser. La Finlande, principal partenaire occidental de l'URSS, va se muter en un état riche, avec l'un des meilleurs niveaux de vie au monde.
Finlande contemporaine
Après la guerre, la ligne Paasikivi de neutralité stricte fait de la Finlande une plaque tournante des relations Est-Ouest. Elle ne peut pas en effet se ranger dans l'un ou l'autre bloc en vertu des accords passés à l'issue de la Seconde Guerre mondiale. Contrairement à des idées parfois répandues en France, la Finlande n'était donc pas communiste, mais ne pouvait pas se joindre au bloc de l'Ouest sous peine de mécontenter son puissant voisin. La politique de la Finlande se tourne ainsi résolument vers la neutralité qui lui permit de traverser sans trop d'encombres cette période délicate. Encore aujourd'hui les Finlandais hésitent à adhérer à l'OTAN afin de respecter leur neutralité politique.
La Finlande devient rapidement un pays prospère. Son développement subit néanmoins une crise majeure dans les années 1980 et 1990, alors que le chômage touche 20 % de la population active. Mais grâce à une relance de l'activité dans le secteur des nouvelles technologies (Nokia, F-Secure et des laboratoires de biotechnologie par exemple), elle renoue avec la croissance et atteint un taux de chômage inférieur à la moyenne de l'Union européenne. Finalement, la Finlande adhère à cette dernière en 1995 et participe à la zone euro dans laquelle ses billets et pièces ne représentent qu'environ 2 % du total mis en circulation.1
Poussée électorale à droite de la droite
En avril 2011, après le Danemark, la Suède, la Norvège, c'est au tour de la Finlande de voir un parti nationaliste, xénophobe et de la droite extrême réaliser une percée électorale, dans une des régions du continent dont on disait encore récemment que, bénéficiant d'une certaine prospérité, elle restait immunisée contre ce type de danger.
Cela ne constitue malheureusement plus une exception en Europe. De la Hongrie avec le Jobbik (22 % des voix aux législatives) aux Pays-Bas avec le Parti de la Liberté (15,5 %), à l'Italie avec la Ligue du Nord (8,5 %) ou encore la Suisse avec l'Union démocratique du centre (29 %), toutes deux associées au gouvernement de leur pays, on constatait en maints endroits une poussée du nationalisme, de la xénophobie, pour le moment essentiellement sur le terrain électoral. Sans oublier bien sûr le Front National en France. La seule nouveauté, en l'espèce, est que ce parti finlandais venait de multiplier son score par cinq.
Faisant pratiquement jeu égal avec le deuxième parti du pays, le Parti social-démocrate (19,1 % des suffrages), le parti dit des Vrais Finlandais a obtenu 19 % des voix aux élections législatives, avec pour principal slogan « Les Finlandais d'abord ». Que l'immigration représente à peine 3 % de la population, un des taux les plus bas d'Europe, n'a pas empêché ce parti d'axer sa propagande contre l'étranger et l'Union européenne, promus boucs émissaires du mécontentement social par des politiciens démagogues.
Ceux de la droite nationaliste n'ont pas manqué de dénoncer les « paresseux du Sud » : dans leur langage xénophobe, il s'agit des Grecs et des Portugais, que, prétendent-ils, l'Europe oblige les « vrais » Finlandais à subventionner. Mais aussi bien le KOK du ministre des Finances (le Rassemblement conservateur arrivé en tête du scrutin avec 20,44 % des voix) que le Parti social-démocrate (19,1 %, à peine plus que l'extrême droite) avaient eux aussi choisi dans ces élections d'adopter un ton critique vis-à-vis de l'immigration comme de l'Europe. Ajoutons que les Conservateurs envisageaient ouvertement de former un gouvernement de coalition avec les Vrais Finlandais, mais également avec les sociaux-démocrates.
Ce serait en quelque sorte une Sainte-Alliance du personnel politique de la bourgeoisie pour tenter de faire croire à la population et aux travailleurs que c'est à l'étranger, mais surtout pas parmi les capitalistes du pays, qu'il faudrait aller chercher les responsables de leurs malheurs.2
Une économie en récession
En 2013, la Finlande, l'un des quatre pays de la zone euro encore classé AAA par l'agence Standard & Poor's, entre en récession, avec une croissance prévue à 0,6 % pour l'année suivante. Outre la conjoncture économique, le pays, dépendant de ses exportations, est confronté selon la banque centrale finlandaise « à une restructuration industrielle, une hausse des coûts nationaux et au vieillissement de la population ». Le rachat de l'ancien leader de la téléphonie Nokia par Microsoft a par ailleurs eu une valeur symbolique. Avec un chômage en hausse à 8,1 %, contre 7,7 % en 2012, les économistes de la banque centrale tablaient sur une baisse du chômage en 2015 et à la reprise en 2014. La Finlande est alors décrite comme le « pays malade » de la Scandinavie.
En outre, le pays subit sa troisième année de déficit commercial consécutive.
En août 2014, à la suite de l'entrée en vigueur de sanctions européennes contre la Russie, le premier ministre Alexander Stubb déclare que l'économie finlandaise, très dépendante de la Russie, risque de sombrer dans la crise économique. Selon les estimations de la banque centrale finlandaise, une baisse de l'économie russe de 3 % engendre une baisse consécutive de 0,5 % de l'économie finlandaise. Le gouvernement finlandais déclare ne pas écarter la possibilité de demander une réparation à l'Union européenne, si les sanctions européennes envers la Russie venaient à causer un dommage trop important à l'économie finlandaise.3
Le parti d’extrême-droite les « Vrais finlandais » fait son entrée au gouvernement
Fort des 17,6 % obtenus par les « Vrais finlandais » lors des législatives d’avril 2015, son leader et porte-parole Timo Soini a fait son entrée le 27 mai 2015, avec 3 autres membres de son parti1 dans le gouvernement de coalition emmenée par le « Parti du centre ».4
Moins de trois semaines après le scrutin, Juha Sipilä, dont la formation, le Parti du centre, est arrivée en tête des élections, a annoncé qu'il entendait négocier la formation d'un gouvernement avec le Parti de la coalition nationale et les Vrais Finlandais. Le 27 mai 2015, le dirigeant centriste annonce la composition de son futur gouvernement, dans lequel le premier-ministre sortant Alexander Stubb deviendrait ministre des Finances et Timo Soini, leader des Vrais Finlandais, serait chargé des Affaires étrangères.5
Coup de froid sur le mythe de l’État providence
Le Premier ministre finlandais centriste, Juha Sipilä, élu en avril 2015 sur la promesse de relancer l’investissement, la croissance et l’emploi, a annoncé une série d’attaques contre les travailleurs.
Les congés des fonctionnaires vont baisser de trente-huit à trente jours. Deux jours fériés ne seront plus rémunérés pour l’ensemble des salariés. Le premier jour d’arrêt maladie ne sera plus indemnisé. Les majorations de salaire pour les heures supplémentaires seront réduites de 50 %, et de 25 % pour le dimanche.
C’est une véritable soupe à la grimace qu’a concoctée Juha Sipilä, un patron millionnaire, qui va légiférer malgré l’hostilité des syndicats. Son but affiché est de réduire le « coût du travail de 5 % d’ici à 2019 », pour mettre fin au « laxisme salarial » et rendre à l’économie finlandaise sa « compétitivité » et sa « productivité ». Pourtant Nokia, le poids lourd de l’économie finlandaise, rachetait au même moment Alcatel pour plus de 15 milliards d’euros, ce qui en disait long sur la bonne santé de sa « compétitivité ».
Il est bien loin, le conte de fées du capitalisme nordique à visage humain, où les « partenaires sociaux » privilégiaient la « culture du compromis ». Au pays du Père Noël comme ici, il faut se méfier des belles histoires que les politiciens nous racontent au coin du feu les veilles d’élections.6
Le système éducatif finlandais
La Finlande est depuis plusieurs années championne du monde pour l’efficacité du système scolaire. Selon l’enquête PISA sur les acquis des jeunes de 15 ans (2000 et 2003), la Finlande arrive en effet en tête en mathématiques, en maîtrise de la lecture, en Sciences et en capacité à résoudre un problème (Finlande : 2e position). Pourtant ce pays performant ne consacre que 6,2 % de son PIB à l'éducation alors que la France par exemple en consacre 6,9 %.
Si on en croit les enquêtes menées sur cette réussite, les relations avec les professeurs sont très bonnes, le climat est moins à la répression qu’à l’autodiscipline. Si un élève perd pied, pas question de redoubler, des professeurs spécialisés (2 ou 3 par établissement) viennent prêter main forte à leur collègue dans la classe ou donnent des cours particuliers, autant qu’il est nécessaire. Les enseignants se situent dans une optique d’accompagnement et les textes, la hiérarchie, les maîtres y sont très respectés et leur autorité reconnue.
Le système est entièrement décentralisé. L'équipe enseignante et le directeur ont une grande marge de manœuvre dans l’organisation de l’établissement. L’école se charge elle-même de l’embauche des professeurs. Il n’y pas d’inspecteurs, mais des évaluations ministérielles à usage interne. Les professeurs s'évaluent entre eux. Les municipalités financent les établissements à hauteur de 50 % du budget, le reste étant financé par l’État.
L'enseignement supérieur comprend deux types d'institutions : les universités et les instituts universitaires professionnalisés. Pour y entrer il faut passer des concours. Le système de l'enseignement supérieur est très décentralisé avec une cinquantaine d'établissements.
Sport
La Finlande est le berceau de Keke Rosberg, Mika Häkkinen et Kimi Räikkönen, trois champions de Formule 1 ainsi que notamment le pilote Heikki Kovalainen et le fils de Keke Nico Rosberg. La Finlande a aussi donné naissance à de grands champions de rallye, tels que Ari Vatanen, Hannu Mikkola, Juha Kankkunen, Tommi Mäkinen et Marcus Grönholm ou encore Rami Räikkönen.7
Häkkinen, Räikkönen, Kovalainen, Vatanen, Kankkunen, Mäkinen....
Les lettres « EN » se prononcent HAINE.
Les noms de ces célèbres pilotes de course se terminent par le son « HAINE » car c'est la HAINE qui pilote le monde.
FINLANDE = FIN DAN LE
Dieu nous révèle ainsi que la FAIM DAN LE monde touche 800 millions d'êtres humains parce que la HAINE pilote le monde, étant donné qu'une minorité de la population mondiale accapare la nourriture des pauvres.
FINLANDE = 6+9+14+12+1+14+4+5 = 64
Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.
Dieu nous fait comprendre que la PAU-VRETÉ et la FAIM DANS LE monde sont générées par la COURSE contre la montre menée par une minorité d'hommes pour accumuler le maximum d'argent.
Les « finnois volants »
Parmi les plus fameux athlètes finnois des temps passés, il y a Hannes Kolehmainen (1890–1966), Paavo Nurmi (1897–1973) et Ville Ritola (1896–1982), qui, à eux trois, ont remporté 25 médailles olympiques de course de fond. Ils sont considérés comme étant les premiers d'une génération de grands coureurs de fond finnois, surnommés les « finnois volants ». Un autre coureur de fond, Lasse Virén (né en 1949), a remporté 4 médailles d'or au cours des Jeux Olympiques de 1972 et 1976.8
Paavo Nurmi
Paavo Johannes Nurmi est un athlète finlandais né le 13 juin 1897 à Turku et mort le 2 octobre 1973 à Helsinki, en Finlande. Poursuivant la tradition du fond finlandais, il règne sur le plan mondial durant près de quatorze ans. Lors de sa carrière, il établit vingt-deux records du monde, du 1 500 m au 20 000 m, et remporte douze médailles lors des Jeux olympiques, dont neuf titres, devenant ainsi l'athlète le plus médaillé de cette compétition.
En 1925, la notoriété de Paavo Nurmi franchit l'Atlantique immédiatement après les Jeux de Paris. Répondant à l’appel de promoteurs américains, le Finlandais décide d’entreprendre une longue tournée de meetings et de courses exhibitions rémunérés. Durant cinq mois, parcourant près de 50 000 kilomètres à travers les États-Unis. Les confrontations proposées à Nurmi par les promoteurs relèvent parfois de l’insolite, à l'image d'une course sur 2 miles face à un relais composé de membres d'une tribu amérindienne.
Au printemps 1932, au congrès de l’Association internationale des fédérations d'athlétisme, une plainte suédoise fait état d'une somme de 60 000 francs reçue par Paavo Nurmi lors du meeting d'Helsinki en 1930 pour battre le record du monde des 2 miles, alors que la règle stricte de l’amateurisme est en vigueur depuis la création de la Fédération internationale en 1912. La Fédération allemande ajoute d'autres éléments à la charge du Finlandais, notamment le versement de sommes importantes lors des meetings de Breslau, Stuttgart ou Dantzig. Il est suspendu à vie en 1932 par la Fédération internationale d'athlétisme, il devient ainsi officiellement un professionnel et non plus un amateur.
Bénéficiant de confortables revenus récoltés depuis le début de sa carrière, et notamment par ses tournées outre-atlantique, Nurmi se reconvertit en tant qu'homme d'affaires dans l'immobilier. Au cours des années 1930, il réussit à bâtir une véritable fortune dans l'industrie du logement en Finlande.
En 1952, Paavo Nurmi est honoré par le Comité international olympique en étant désigné dernier porteur de la flamme lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux d'Helsinki. Il reçoit à cette occasion l'acclamation des 70 000 spectateurs du Stade olympique. Le flambeau est transmis par l'autre héros national finlandais, Hannes Kolehmainen.
Paavo Nurmi s'éteint le 2 octobre 1973 à Helsinki, totalement aveugle et presque muet, des suites d'une longue maladie. Ses obsèques sont célébrées dans la capitale finlandaise avant que sa dépouille ne soit transférée dans sa ville natale de Turku. Un hommage national lui est rendu par l'intermédiaire d'Urho Kekkonen, Président de la République finlandaise et ancien Président de la Fédération d'athlétisme
Depuis sa mort, des statues à son effigie sont érigées dans toute la Finlande ainsi qu'au siège du Comité international olympique à Lausanne. Des médailles et des timbres ont été émis en son honneur. En 1997 a été construit un stade à Turku qui porte son nom, le stade Paavo Nurmi, montrant bien l'influence de Nurmi en Finlande.
Style
Mesurant 1,74 m et pesant 65 kilos, Paavo Nurmi possède à l'époque un gabarit parfaitement taillé pour les courses de fond. Ses performances réalisées tout au long de sa carrière sur des distances allant du 1 500 m au 20 000 m sont dues, selon les spécialistes, à sa science du train. Tactiquement, le Finlandais tente d'imprimer dès le départ un rythme soutenu et régulier à la course, permettant de se débarrasser petit à petit de ses adversaires.
Entraînement
Ingénieur de formation, Paavo Nurmi est l’un des premiers athlètes à prendre conscience de l’importance d'un entraînement méthodique et rigoureux. Dès l’âge de vingt ans, il s’astreint déjà à plusieurs séances régulières et progressives composées de marches accélérées, de fractionnés sur piste, de footings en nature et de gymnastique d'assouplissement. Parcourant trois fois plus de kilomètres que ses adversaires, il n'hésite pas à s'entraîner toute l’année, y compris en période hivernale. Non satisfait de sa capacité d'accélération dans les derniers mètres, Nurmi décide, au début des années 1920, de modifier sa pratique d'entraînement en intégrant à son programme des séances de course à allure élevée. Ainsi, il effectue dès le matin un footing d’environ dix kilomètres conclu de quelques sprints. L’après-midi, il ponctue une deuxième course par des accélérations progressives dans les deux derniers kilomètres. Par ailleurs, il n'hésite pas à enchaîner des courses rapides sur des courtes distances (du 400 au 1 000 mètres), et à conclure ses séances par des exercices de renforcement musculaire à base de sauts et d'exercices de bras.
Le repos et la récupération, notamment par des séances de sauna et de massages, sont des éléments fondamentaux du dispositif d’entraînement élaboré par le Finlandais. Son hygiène de vie est parfaitement étudiée. Nurmi ne fume pas, ne boit pas, et fait attention à son alimentation. Durant ses nombreux entraînements, Nurmi ne se sépare jamais de son chronomètre pour respecter les temps élaborés à chaque section de course et s’habituer à courir à une allure régulière et continue.
Surnommé le « Finlandais volant », Nurmi est considéré comme l'un des précurseurs de nouvelles méthodes d'entraînement rigoureuses et intensives.
Il a remporté 12 médailles aux jeux olympique. Il n'a été battu qu'une seule fois. Aux Jeux olympiques d’Anvers en 1920, Paavo Nurmi participe à 23 ans à l’une de ses premières compétitions internationales, les Jeux de 1916 ayant été annulés pour cause de Première Guerre mondiale. Ses performances réalisées suite à sa méthode d’entraînement lui laissent espérer dans cette compétition des exploits dignes de son aîné, Kolehmainen. Lors de sa première course, le 5 000 mètres, et bien que décidé à imprimer un train soutenu à la course et lâcher ses principaux adversaires, le Finlandais est dépassé à 200 mètres de la ligne d’arrivée par le Français Joseph Guillemot, médaillé d’or. Ce sera la seule défaite de sa carrière aux Jeux olympiques face à un concurrent étranger.9
Le règne de Paavo Nurmi en athlétisme symbolise le darwinisme social inhérent au nazi-capitalisme, c'est-à-dire que les mieux dotés par la nature l'emportent sur les plus faibles. À l'image d'une multinationale, Paavo Nurmi était une véritable machine de guerre programmée pour battre tous ses adversaires.
La machine a été défaillante une seule fois, lors des Jeux Olympiques d'ANVERS en 1920, où Paavo Nurmi a subi sa seule défaite, contre un Français : Joseph GUILLEMOT.
GUILLEMOT = LE MOT GUI L
LE MOT « GUI » symbolise l'amour puisque sous une branche de GUI, les hommes ont coutume de s'embrasser.
L = AILE
Joseph GUILLEMOT a battu en finale Paavo Nurmi, surnommé « le Finlandais VOLANT ».
Dieu nous fait comprendre que la vie n'est pas une compétition, il nous demande de mettre un terme à la guerre économique pour que l'amour règne enfin sur Terre, et nous y parviendrons avec les MOTS « nationalisation sans indemnité » et « plafonnement des revenus ».
Ces MOTS nous donneront des AILES car ils empêcheront les capitalistes de VOLER les richesses de la Terre, qui seront alors équitablement redistribuées entre chaque être humain. À ce moment-là, ce sera la FIN de la guerre DANS LE monde.
« GUILLEMOT » signifie ainsi que LE MOT obligera les hommes à s'embrasser, et Paavo Nurmi symbolise le plus fort, c'est-à-dire la multinationale – le RICHE – que nous pourrons battre avec LE MOT, c'est-à-dire la loi.
Le l0 avril 2022, lors du premier tour de l'élection présidentielle, nous devions alors déposer dans l'urne le MOT « POUTOU », qui signifie « bisou » en argot, car Dieu nous demande de renverser le capitalisme pour que les hommes puissent enfin s'embrasser au lieu de se faire la guerre.
Joseph GUILLEMOT a battu Paavo Nurmi à ANVERS en 1920.
20 = VIN
Dieu a fait les choses à l'ANVERS en nous faisant boire du VIN à la place de l'EAU : il nous a appris à courir avant de nous apprendre à marcher, en faisant de nous les chevaux de COURSES de CÉSAR.
COURSES = RACES = CESAR
Le VIN a donc permis aux rois de fixer leurs propres règles.
Le lendemain de sa défaite sur 5 000 mètres, Paavo Nurmi a pris sa revanche sur le 10 000 mètres où les positions d'arrivée furent inversées. À l'arrivée, Joseph Guillemot a VOMI sur les chaussures de Nurmi parce que le Français ne fut pas averti du départ avancé de la course à la demande du ROI des Belges. L'épreuve étant avancée de 3 heures, Guillemot dut se présenter alors qu'il venait de prendre un copieux déjeuner et par conséquent, durant la course, sa digestion fut difficile. Sa performance fut d'autant plus remarquable que Guillemot s'était fait voler ses chaussures avant la course, et il a couru avec une paire trop grande.10
Ainsi, Joseph GUILLEMOT a VOMI sur les chaussures de son adversaire car le ROI avait avancé l'épreuve de 3 heures.
VOMIR = GERBER
Le Pape de l'an mil, GERBERT d'Aurillac, serait né dans le hameau de BELLIAC.
Joseph Guillemot a découvert l'athlétisme lorsqu'il était dans le 16e bataillon de chasseurs à pied à BELLAC.
La différence entre BELLAC et BELLIAC se situe au niveau de la lettre « I » en plus à BELLIAC.
I = 9
9 = NEUF
Dieu nous transmet un dogme NEUF en remplaçant l'Alliance du VIN par celle de l'EAU.
GERBERT = T
T = 20 = VIN
GERBERT = GERBER le VIN
Après la finale du 10 000 mètres, Joseph GUILLEMOT a « GERBÉ » sur les pieds de son adversaire.
Le responsable de la GERBE était le ROI des Belges.
Le code postal 10 000 est celui de la ville de TROYES.
TROYES se prononce comme le chiffre TROIS.
TROIS = T ROIS
Dieu te fait comprendre que si tu GERBES le VIN sur tes adversaires (les capitalistes, les riches), T'es ROI, car l'Alliance du VIN avec Jésus laisse le pouvoir politique entre les mains de César (le riche) – donc rejette le VIN et rejoins l'Alliance de l'EAU qui t'impose de prendre le pouvoir en main pour obtenir la vie éternelle.
Ainsi, à partir du moment où tu GERBES le VIN, tu prends la place du ROI.
Je m'appelle Nicolas GERBERON puisque Dieu nous révèle que c'est lorsque nous GERBERONS tous ensemble le VIN, que nous prendrons enfin la place des rois. À travers mon nom de famille, Dieu met en lumière le NOUS à la place du JE car lorsque nous évoluerons du JE au NOUS, nous mettrons la minorité de rois à « JENOUS ».
GERBER le VIN signifie exproprier César (le capitaliste) de l'économie et plafonner les revenus du RICHE.
À travers Joseph Guillemot et Gerbert d'Aurillac, Dieu met en lumière les communes de BELLAC et BELLIAC.
BEL = 25 12
Le 25 12 (25 décembre) célèbre la naissance de Jésus.
AC = ASSEZ
Dieu remplace ainsi l'Alliance du VIN avec Jésus par celle de l'EAU : il y a en a ASSEZ que César extermine des millions d'êtres humains chaque année en accaparant les richesses de la Terre.
Joseph Guillemot a VOMI sur son adversaire lors des Jeux Olympiques d'Anvers en BELGIQUE.
BE L = 25 12 = Jésus
GIQUE = 7+9+17+21+5 = 59
Le département 59 est celui du NORD.
NORD = 14x15x18x4 = 15120
15 = O = EAU
120 = SANS VIN
Dieu nous transmet désormais le message : « SANS VIN » – il remplace ainsi l'Alliance du VIN avec Jésus par celle de l'EAU.
Alors GERBEZ le VIN et prenez le pouvoir en main en votant pour L.O. ou le NPA, le jour de l'élection présidentielle.
Le code postal d'Anvers est le 2000.
20 = VIN
Dieu remet les choses à l'endroit en remplaçant l'Alliance du VIN par celle de l'EAU : il met fin à la course individuelle en multipliant les signes pour que nous menions désormais une marche solidaire.
Dieu établit un dogme NEUF.
NEUF = 9
9 = I
La lettre « I » signifie « MOI, JE » en anglais.
Dieu établit un dogme NEUF en supprimant le « MOI, JE », c'est-à-dire l'égoïsme qui règne depuis des millénaires sur la Terre.
Les Jeux Olympiques d'ANVERS de 1920 ont eu lieu 84 ans avant ceux d'Athènes en 2004.
L'année 2004 symbolise Adolf Hitler qui est né un 20 04 (20 avril).
Le chef-lieu du département 84 est Avignon dont la maire est Cécile HELLE.
« HELL » signifie « ENFER » en anglais.
Dieu nous montre que le diable dirige le monde parce que nous avons fait les choses à l'ENVERS en votant pour Adolf Hitler à chaque élection présidentielle.
Nous avons ainsi voté pour le maintien d'une compétition individualiste et criminelle au lieu de mettre en place une marche solidaire.
À travers Joseph GUILLEMOT, Dieu nous révèle que nous pouvons battre les rois qui dirigent le monde à l'aide des MOTS.
Joseph GUILLEMOT a battu le ROI du 5000 mètres, Paavo Nurmi, lors des Jeux Olympiques d'Anvers.
Le code postal 5000 est celui de la ville de GAP : le chef-lieu du département 5.
5 = E
GAP+E = PAGE
Dieu nous fait comprendre que nous pouvons battre les rois si nous sommes plus de 50 %, le jour de l'élection présidentielle, à leur prendre le stylo des mains pour changer la loi et écrire nous-mêmes les prochaines PAGES de l'histoire de l'humanité. Les MOTS briseront ainsi nos chaînes.
GUILLEMOT = GUI LE MOT
GUI = 7x21x9 = 1323
1323 = ACBC
A C B C se prononce ASSEZ BAISSÉ.
Nous nous sommes ASSEZ BAISSÉ devant les rois – les plus riches – qui nous ont toujours asservi : il est temps de nous relever.
LE MOT est notre GUILLOTINE.
JOSEPH GUILLEMOT = JOSEPH GUILLOTIN
JOSEPH GULLOTIN a donné son nom à la GUILLOTINE.
GUILLOTINE = TINE
TIN = 20x9x14 = 2520
2520 = BET
TINE = TIN+E
BET+E = BETE
Dieu nous fait comprendre que nous devons couper la tête de la BÊTE, le jour de l'élection présidentielle, avec LE MOT désignant le nom de famille de notre candidat(e).
JOSEPH GUILLOTIN est mort le 26 mars 1738 (26 3 1738).
26x3x1738 = 141492
14 1492 = NIB 14
« NIB » signifie « PLUME » en anglais : la PLUME d'un stylo.
14 = N = HAINE
Nous abolirons le pouvoir de la BÊTE avec la PLUME de nos stylos.
Pour décapiter le capitalisme, nos GUILLOTINES sont les MOTS suivants : « suppression de la propriété privée des moyens de production, nationalisation sans indemnité, plafonnement des revenus, semaine de travail de 32h voir moins, autogestion des entreprises par les salariés... »
Nous pouvons ainsi éradiquer la HAINE avec la PLUME de nos stylos. Il suffit simplement de ne plus se BAISSER le jour de l'élection présidentielle devant la dictature des rois – alors révoltons-nous et écrivons-nous mêmes les futures PAGES de NOTRE histoire.
À travers la date de décès de Joseph GUILLOTIN, nous obtenons le chiffre 1492.
1492 = NIB = PLUME
Christophe COLOMB a découvert l'Amérique en 1492.
Joseph GUILLEMOT est devenu champion de France militaire à COLOMBES en 1918.
La COLOMBE est le symbole de la PAIX.
Dieu nous révèle que les MOTS sont nos armes pour obtenir la PAIX dans le monde car le jour de l'élection présidentielle, les MOTS « Nouveau Parti Anticapitaliste » et « Lutte Ouvrière », nous permettront de prendre le pouvoir en main afin de changer la loi. Les MOTS mettront alors un terme aux guerres impérialistes et aux inégalités sociales. Ainsi, à l'instar d'une branche de GUI, les MOTS permettront aux hommes ne plus se faire la guerre mais de s'embrasser, c'est la raison pour laquelle nous devions déposer dans l'urne le MOT « POUTOU » lors des précédentes élections présidentielles.
Notre modèle à suivre est donc la COLOMBE et non le PIGEON car pour obtenir la PAIX, les PIGEONS doivent PIGER qu'ils se font PIÉGER par le diable à chaque élection présidentielle.
Paavo Nurmi est né le 13 juin 1897 (13 6 1897).
13x6x1897 = 147966
147966 = 1479 66
La monarchie espagnole, qui a financé le voyage de Christophe COLOMB, a été fondée en 1479.
66 = le chiffre de la BÊTE est le 666, c'est le chiffre du capitalisme.
Paavo Nurmi était une machine de guerre sur la piste d'athlétisme, il « explosait » tous ses adversaires, sauf un, Joseph Guillemot, un irréductible Gaulois.
Paavo Nurmi symbolise les puissantes multinationales qui « explosent » la concurrence.
Dieu associe Nurmi à l'année 1479 car la monarchie espagnole, fondée cette année-là, a financé le voyage de Christophe COLOMB dont l'issue a permis aux conquistadors de piller l'Amérique en exterminant les Amérindiens. De nos jours, les multinationales ont remplacé les conquistadors, elles pillent les richesses du monde entier en exterminant les plus pauvres qui sont privés de ces richesses.
À travers Joseph GUILLEMOT, qui a battu Paavo Nurmi, Dieu nous montre que nous pourrons battre les multinationales avec LE MOT « expropriation ». Nous empêcherons alors ces multinationales de tuer lorsque nous en prendrons le contrôle en les nationalisant sans indemnité. Les MOTS nous permettront ainsi de vaincre le règne de la HAINE.
Les Gaulois cueillaient le GUI, et de nos jours, le GUI symbolise l'AMOUR.
Olivier Besancenot travaille au GUICHET de La Poste.
GUICHET = GUI CHE
Le CHE est la figure symbolique du combattant anticapitaliste.
Il écrivait : « Permettez-moi de dire, au risque de paraître ridicule, que le vrai révolutionnaire est guidé par de grands sentiments d'amour. Il est impossible d'imaginer un révolutionnaire authentique sans cette qualité.(...) Nos révolutionnaires d'avant-garde doivent idéaliser cet amour des peuples, des causes les plus sacrées, et le rendre unique, indivisible.(...) Tous les jours, il faut lutter pour que cet amour de l'humanité vivante se transforme en gestes concrets, en gestes qui servent d'exemple et qui mobilisent. »11
À travers le CHE, Dieu nous demande ainsi de voter avec notre cœur, le jour de l'élection présidentielle, en pensant à tous les être humains tués chaque jour par le nazi-capitalisme. À l'instar du Che, nous devons combattre ce système économique criminel, et nos armes sont les MOTS. Nous devons arrêter de faire les choses à l'ENVERS car en votant pour le règne de l'individualisme et l'éternelle compétition entre les hommes, les plus forts continueront à dévorer les plus faibles.
TIGER WOODS est le premier sportif milliardaire de l'Histoire.
« TIGER » signifie « TIGRE » en anglais.
« WOODS » signifie « FORETS ».
Le libéralisme économique a instauré la loi de la JUNGLE : il permet aux plus forts de dévorer les plus faibles, les arbitres ayant été supprimés.
Les TIGRES ont alors pu se bâtir des empires en laissant mourir de faim et de maladies les plus faibles, la loi de la jungle ne leur imposant pas de redistribuer leurs richesses. Nous devons désormais mettre un terme à ce pouvoir de la BÊTE, en utilisant les MOTS en notre possession, pour enfermer les TIGRES en cages afin qu'ils arrêtent de tuer des millions d'êtres humains chaque année.
Les arbitres de la FFF (Fédération Française de Football) sont sponsorisés par La POSTE.
Philippe Poutou était le candidat du NPA en 2012, 2017 et 2022. Son père est un ancien salarié de La POSTE. Olivier Besancenot est le porte-parole du NPA et il travaille actuellement à La POSTE.
FFF = 666
Le chiffre de la BÊTE est le 666.
Dieu nous fait comprendre que le NPA est l'arbitre qui mettra un terme à la loi de la jungle. Une fois au pouvoir, il enfermera définitivement les BÊTES en CAGE.
CAGE = 3x1x7x5 = 105
105 = JE
Le « JE » symbolise l'égoïsme.
Le NPA symbolise la solidarité, et unis derrière lui, nous mettrons un terme à la compétition meurtrière imposée par le libéralisme économique.
PAAVO Nurmi était appelé le « Finlandais VOLANT ».
PAAVO = PAVOT
Le pavot somnifère ou pavot à opium est connu pour ses propriétés psychotropes sédatives. Toutes les variétés de pavot somnifère contiennent des alcaloïdes opiacés dont les plus connus sont la codéine et la morphine. Cette dernière, outre la production à but thérapeutique pour ses effets analgésiques, fait l'objet d'un trafic illicite essentiellement destiné à sa transformation en un opiacé synthétique : l'héroïne.12
Le régime capitaliste emploie tous les moyens en sa possession pour essayer de nous endormir afin de nous soumettre aux plus forts. Ainsi, les programmes télévisés et la publicité glorifient les sportifs comme Teddy Riner ou Léon Marchand, qui ont la particularité d'écraser leurs adversaires dans leurs sports respectifs. La télévision glorifie ainsi l'individualisme et la richesse en mettant en scène de riches sportifs dans des publicités, bien que la richesse des uns entraîne l'extermination des autres. Alors ne te laisse pas endoctriner par le nazi-capitalisme, ne dors pas devant ta télévision et combats les sportifs millionnaires en prenant possession des MOTS pour les obliger à partager. Dieu nous demande de leur greffer un cœur car nous sommes tous des chirurgiens.
Sources