Antiquité
Vers 610 av. J.-C., une tribu thraco-illyrienne originaire des Balkans passe en Asie Mineure et se déplace graduellement vers l’est jusqu’au Caucase pour se confondre, sans confrontation semble-t-il, avec le royaume de l’Urartu. « Incluant alors tous les autres éléments ethniques », l'ethnie arménienne se forme, avec une culture qui incorpore des éléments de la culture urartéenne et une langue, indo-européenne, qui s'impose peu à peu. Les Arméniens sont évoqués dans les archives de Ninive. En 490 av. J.-C., les vassaux de Xerxès Ier, roi des Perses, combattent à Marathon contre les Grecs.
La région passa par des périodes d’indépendance et de soumission. À la suite de la conquête de l'empire perse par Alexandre le Grand, l'Arménie subit donc l'influence grecque (dynastie séleucide). À cette époque, la dynastie orontide défend la souveraineté arménienne.
En 189 av. J.-C., le stratège Artaxias proclame l’indépendance et, en 187 av. J.-C., fonde sa capitale, Artaxate. Cette Arménie hellénistique, sous le règne de la nouvelle dynastie artaxiade doit faire face aux Parthes. Sous le règne de Tigrane le Grand (95 -55 av. J.-C.), elle va s’étendre de la Méditerranée aux rives de la mer Caspienne. Ce même roi déplace sa capitale à Tigranocerte vers -78.
Mais l'expansion de l'Arménie indispose les Romains qui annexent une bonne partie des terres que Tigrane venait de conquérir, tout en laissant l'Arménie indépendante jusqu'en 65 av. J.-C., année où le pays devient un protectorat romain.
De 1 à 53, les Romains et les Parthes se partagent l'Arménie. Celle-ci est à nouveau romaine de 114 à 117.
Mais, par la suite, la dynastie arsacide rétablit l'indépendance du pays. Au IIe siècle, une nouvelle dynastie perse, les Sassanides, profite de la faiblesse de l'Empire romain pour envahir l'Arménie.1
Christianisation de l'Arménie
Un des événements les plus marquants de l'histoire arménienne est la conversion du pays au christianisme. Ses débuts reposent sur des bases légendaires : le pays aurait été évangélisé par Simon, Barthélemy et Thaddée. On est sur un terrain plus sûr au IVe siècle. L'empereur romain Dioclétien installe Tiridate IV (298-330) sur le trône d'Arménie. Le roi est païen mais un prédicateur, saint Grégoire Ier l'Illuminateur, le convainc de faire de l'Arménie le premier État officiellement chrétien au monde. On date traditionnellement cet événement de 301, mais certains historiens, dont Jean-Pierre Mahé, soutiennent que la conversion date de 313.2
L'ARMENIE est le premier État devenu officiellement chrétien sous le règne de TIRIDATE.
Le christianisme a laissé le pouvoir politique entre les mains de César donc Dieu nous fait comprendre que le TIR il DATE de là car César tue actuellement des millions d'êtres humains chaque année étant donné que Jésus lui a donné le droit d'acquérir la majeure partie des richesses de la Terre.
ARMENIE = ARME NIE
En votant pour César, l'électeur lui donne une ARME entre les mains puisque César assassine plus de 10 millions d'êtres humains chaque année pour agrandir son empire mais l'électeur NIE ensuite sa responsabilité dans ce massacre alors qu'il en est complice.
À travers l'ARMENIE, Dieu nous révèle que notre bulletin de vote est une ARME et en votant pour César, nous tirons dans le dos de 30 millions d'enfants en 5 ans car nous laissons César accaparer la majeure partie des richesses de la Terre. Ainsi, notre TIR DATE du jour de l'élection présidentielle, donc l'électeur se sert de son bulletin de vote comme d'une ARME à feu mais il NIE ensuite avoir tiré sur des millions d'innocents. Il ne se rend pas compte que laisser César accaparer la majeure partie des richesses revient à tirer dans le dos de dizaines de millions de pauvres le jour de l'élection présidentielle.
Certains historiens, dont Jean-Pierre Mahé, soutiennent que la conversion de l'ARMENIE au christianisme date de 313.
313 = CAC
C A C se prononce C'EST ASSEZ.
Dieu nous transmet le message « C'EST ASSEZ » car il est temps de mettre un terme à ce massacre. Il nous demande désormais de combattre César pour l'empêcher de tuer.
Le Pape François a été élu le 13 03 13.
13 03 13 = AC C AC
A C C A C se prononce ASSEZ C'EST ASSEZ.
Dieu nous demande de ne plus TIRER sur des innocents, et à travers les lettres « CAC », il nous prouve que nous sommes complices de ce massacre.
En effet, le CAC 40 est un indice boursier regroupant les 40 plus importantes capitalisations boursières françaises cotées à la Bourse de Paris, c'est-à-dire les 40 entreprises les plus riches de France.
Il suffirait de 20 milliards d'euros par an pour éradiquer la malnutrition et ainsi sauver la vie de millions d'enfants chaque année. Les bénéfices engendrés par les sociétés du CAC40 prouvent que nous avons TIRÉ dans le dos de dizaines de millions d'enfants lors des précédentes élections présidentielles, puisque nous aurions pu décider de taxer une partie de ces richesses pour sauver la vie de ces enfants.
De 2002 à 2012, les entreprises du CAC 40 ont réalisé des bénéfices nets annuels de :
2002 : 20 milliards d'euros
2003 : 37 milliards d'euros
2004 : 57 milliards d'euros
2005 : 86 milliards d'euros
2006 : 97 milliards d'euros
2007 : 95 milliards d'euros
2008 : 65 milliards d'euros
2009 : 44,7 milliards d'euros
2010 : 82,3 milliards d'euros
2011 : 73,8 milliards d'euros
2012 : 53,2 milliards d'euros
Soit 711 milliards en 10 ans. (Chiffres indiqués sur Wikipédia).3
Si cet argent – dont une partie provient des richesses pillées aux peuples du Tiers Monde – avait été utilisé pour éradiquer la malnutrition ou le paludisme, la vie de millions d'enfants aurait pu être sauvée chaque année ; mais nous en avons décidé autrement le jour de l'élection présidentielle en choisissant de laisser ces 711 milliards d'euros entre les mains de César : le capitaliste. Notre TIR il DATE de là car notre bulletin de vote est une ARME à feu et on NIE être responsable d'un massacre alors que nous pourrions sauver des millions d'êtres humains chaque année en votant avec notre cœur.
Ces 711 milliards ont été engrangés par les capitalistes durant les 10 ans de règne de l'UMP au pouvoir.
J'ai expliqué précédemment que César monte sur le dos des travailleurs pour construire son empire et ainsi accaparer 711 milliards d'euros en 10 ans.
CESAR = RACES
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
Le PMU symbolise les COURSES de chevaux.
PMU = UMP
Dieu nous montre que les capitalistes ont pu accaparer 711 milliards d'euros en montant sur le dos des travailleurs parce que les électeurs français ont voté majoritairement pour l'UMP en 2002 et 2007, donc Dieu nous dit : « C'EST ASSEZ » – car notre SHOAH a condamné à mort des millions d'êtres humains chaque année.
Antiquité (suite)
Pour affirmer l'intégrité de la nation arménienne, le moine Mesrob Machtots crée un nouvel alphabet ; geste politique fondateur qui sauve ainsi cette culture de l'oubli. Cet alphabet, inspiré par le grec, avec 32 consonnes et 6 voyelles s’écrit de gauche à droite. Les Arméniens peuvent se passer du grec pour la publication des textes. Ainsi, vers l'an 406, l'alphabet arménien est adopté par l'ensemble du royaume. En l'an 428, l'Arménie est divisée entre les Sassanides et les Byzantins.
Moyen Âge
La région est ensuite envahie par les Arabes, qui établissent l'Émirat d'Arménie. Vers l'an 885, la dynastie bagratide s'impose en Arménie, et l'indépendance du pays est alors reconnue. À l'époque, l'Arménie a comme capitale Ani. Avec une population surpassant celle des métropoles européennes comme Paris, Londres et Rome, la ville devient le centre culturel, religieux et économique du Caucase.
L'Empire byzantin s'engage dans une lutte pour subjuguer l'Arménie et réussit finalement en 1045. Mais il est ensuite trop affaibli pour défendre la région contre les Turcs Seldjoukides qui, en 1064, ruinent l'Arménie et continuent d'avancer vers le reste de l'Asie Mineure. Malgré la renaissance zakaride dans la seconde moitié du XIIe — première moitié du XIIIe siècle, des milliers d'Arméniens partent en exil pour s'établir dans des régions plus prometteuses telles que la Moldavie, la Transylvanie, la Hongrie, l'Ukraine, la Pologne, Chypre, divers ports de la Méditerranée et surtout en Cilicie. Dans cette dernière région est fondé en 1137 un royaume arménien qui prolonge la souveraineté arménienne jusqu'en 1375, le royaume arménien de Cilicie.
L'Arménie est l'alliée des croisés de Terre sainte. Plusieurs mariages ont lieu entre princesses arméniennes et souverains francs d’Orient — par exemple le comte Baudouin de Boulogne épouse une Arménienne et devient maître du Comté d’Édesse. Il y a aussi des mariages entre des princes arméniens et des princesses chypriotes. En 1190, Henri VI, empereur romain germanique, remet la couronne royale à Léon II d’Arménie. En 1199, Léon II lui rend la pareille en lui offrant lui aussi une couronne. La culture arménienne est alors très ouverte sur celle de l’Europe et des États latins d’Orient. En 1374, Léon VI de la Maison de Lusignan est le dernier roi arménien avant l'invasion du pays par les Mamelouks en 1375.4
L'Arménie entre les Ottomans et les Séfévides
À partir de la fin du XVe siècle, l'Arménie devient le champ de bataille de l'Empire ottoman et de l'Empire perse des Séfévides. Une frontière définitive ne sera fixée qu'en 1639. Ces interminables guerres entraînent l'appauvrissement du pays et l'émigration ou l'expulsion de nombreux habitants. La société arménienne se modifie profondément. L'ancienne noblesse arménienne est décapitée et ses terres distribuées aux timariotes ottomans ; les paysans exploités quittent leurs terres et on assiste à la création d'une société urbaine de marchands arméniens installés jusqu'à Constantinople. La religion est le dernier refuge du sentiment national arménien : les sultans ottomans créent un patriarcat arménien de Constantinople qu'ils placent à la tête du « millet arménien » (nation arménienne).
Dans la partie perse, Chah Abbas déporte environ 50 000 Arméniens du Nakhitchevan vers Ispahan en 1604/1605 au cours d'une guerre contre les Ottomans. Ces Arméniens vont fonder La Nouvelle-Djoulfa, une prospère communauté de marchands.
La diaspora arménienne se développe de l'Europe à l'Extrême-Orient. Les Arméniens de la diaspora sont financiers ou se livrent au commerce international. Les marchands arméniens de La Nouvelle-Djoulfa, que l'on appelle les « khodjas », forment une compagnie qui commerce avec l'Orient. Vers l'ouest, Colbert permet aux Arméniens de commercer à Marseille en 1669.
Leur réussite commerciale s'accompagne d'un renouveau culturel qui se manifeste dans le domaine de l'imprimerie. L'imprimerie étant interdite dans l'Empire ottoman, on publie les premiers imprimés arméniens à Venise en 1512 : Urbatagirk est ainsi le premier livre imprimé en arménien, par Hakob Meghapart. La première imprimerie arménienne de Constantinople (1567-1569) doit rapidement fermer face à l'opposition des oulémas musulmans. En Occident, les imprimeurs arméniens se réfugient à Amsterdam (1658) où ils publient la première Bible arménienne imprimée en 1666. L'imprimerie arménienne de La Nouvelle-Djoulfa est la première de Perse (1636). À Madras aux Indes, les khodjas font paraître le premier journal arménien, Azdarar (1794-1796).
Depuis les contacts des croisés avec le royaume de Cilicie, des contacts existent entre catholiques et Arméniens. Au XVIIe siècle, l'Église catholique trouve un terrain propice à la conversion dans cette région. Dans cette perspective, Colbert fonde à Constantinople l'École des enfants de langues qui doit former des interprètes chrétiens. En 1717, le moine Mékhitar de Sébaste, converti au catholicisme, installe à Venise dans l'îlot de San Lazarro une communauté de moines catholiques arméniens (congrégation des pères mékhitaristes) qui constitue un foyer uniate. Cette Église arménienne catholique se heurte à l'hostilité et aux tracasseries du patriarche arménien de Constantinople.
À partir de la fin du XVIIe siècle, les revers de l'Empire ottoman font surgir en Grande-Arménie des espoirs d'indépendance. Les Arméniens fondent ces espoirs sur une intervention des puissances européennes. En 1678, le catholicos d'Etchmiadzin décide d'envoyer une délégation arménienne en Occident. Elle s'adresse à Louis XIV mais sans succès. Les méliks du Karabagh, qui comptent sur l'appui des Russes, se lancent sous la direction de David Bek dans une révolte contre le chah de Perse (1722-1730) mais celle-ci est écrasée lors de l'invasion ottomane subséquente.
L'Arménie entre Ottomans et Russes, prémices du génocide
À partir de la fin du XVIIIe siècle, les Russes conquièrent le Caucase et se posent en libérateurs des peuples chrétiens. De 1813 à 1829, ils s'emparent de l'Arménie perse. Par les traités de Golestan et de Turkmanchai, la Perse cède à la Russie les khanats du Karabagh, d'Erevan et de Nakhitchevan. La Russie a maintenant une frontière avec l'Arménie ottomane. Le rêve de reconstitution d'un État arménien est rapidement déçu. Un « oblast (province) arménien » est bien créé dans les territoires conquis mais il disparaît en 1840 lors de la réorganisation de la Transcaucasie en gouvernorats. On assiste par ailleurs à un double mouvement : émigration d'Arméniens vers le territoire russe et immigration de musulmans venant des provinces perdues par l'Empire ottoman ou encore du Caucase.
Au début du XVIIIe siècle, il existe une aristocratie d'administrateurs et d'entrepreneurs arméniens (« amiras ») qui jouent un grand rôle dans l'État ottoman. Cette élite, qui contrôle l'élection du patriarche arménien de Constantinople en payant le « firman » de nomination, suscite l'irritation du reste de la communauté. Entre 1820 et 1836 ont lieu plusieurs émeutes pour obtenir la démocratisation de la gestion du « millet ». Pour enrayer le déclin de l'empire, les sultans ottomans acceptent de se lancer dans une politique de réformes et d'ouverture à l'Occident (« Tanzimat », prôné par des intellectuels et des officiers initiés aux idées humanistes venues de « l'Esprit des Lumières », très présent à Constantinople alors multiculturelle et déjà en voie d'européanisation). Ainsi, le hatt-i cherif (charte impériale) de Gülhane garantit à tous les sujets de l'empire l'égalité des droits, sans distinction de race ou de religion. Mais ces concessions ne se concrétisent que partiellement et seulement dans le cadre communautariste des « millets » : elles vont contribuer à la montée des sentiments nationaux, ravivant davantage les espoirs d'indépendance, que ceux d'une égalité réelle.
Deux changements importants affectent la communauté arménienne : la création d'un millet catholique qui regroupe tous les catholiques romains de rites orientaux (1830) ainsi que la création d'un millet protestant (1850) au sein desquels on retrouve des Arméniens. Par ailleurs, la bourgeoisie arménienne est touchée par les idées nationalistes et démocratiques qui agitent l'Europe. En 1863 est adoptée une « constitution », le Règlement organique arménien, qui dote la communauté arménienne de représentants élus.
La décadence de l'Empire ottoman se poursuit et la méfiance des musulmans à l'égard des minorités chrétiennes augmente. En 1877, la Russie déclare la guerre à l'Empire ottoman. Au cours des opérations militaires, des civils arméniens sont massacrés par des Kurdes dont l'aire de nomadisation s'est déplacée vers le nord au XIXe siècle. La question arménienne est évoquée lors du traité de San Stefano (1878) dans l'« article 61 », révisé par le congrès de Berlin. L'ingérence des puissances européennes suscite l'irritation du sultan Abdülhamid sans cependant réellement protéger les populations arméniennes.
Déçus, les Arméniens fondent deux partis révolutionnaires : le Hentchak (« la cloche »), de tendance socialiste, en 1887 et le Dachnak (Fédération révolutionnaire arménienne) en 1890. Leur agitation en Arménie occidentale et aussi ailleurs dans l'empire déclenche une répression féroce organisée par le sultan Abdülhamid II : de deux cent à trois cent mille Arméniens sont massacrés de 1894 à 1896 sans que les puissances européennes, dont l'opinion publique est pourtant favorable aux Arméniens, n'interviennent. Ces massacres sont appelés « massacres hamidiens » en référence au sultan Abdülhamid.5
Abdülhamid prônait le panislamisme comme idéologie de l'empire et espérait en agissant ainsi renforcer l'intégrité de l'empire en butte à l'hostilité du monde chrétien. Les massacres ont visé principalement les Arméniens, mais ont touché également des chrétiens syriaques, comme à Diyarbakır où la tuerie fit 25 000 morts.
Abdülhamid II fut ensuite appelé le « Sultan rouge » ou encore le « Grand Saigneur ».
En 1896, au plus fort des massacres, Abdülhamid a tenté de limiter l'impact des protestations internationales. L'hebdomadaire américain Harper a été interdit par la censure ottomane pour sa couverture des massacres.6
Si la révolution des Jeunes-Turcs contre le sultan Abdülhamid (1908) est d'abord bien accueillie par les Arméniens, la naissance d'un nationalisme turc ne peut qu'aggraver la situation des Arméniens considérés désormais comme un élément allogène et en 1909, 30 000 Arméniens sont tués dans la cadre d'une campagne de massacres dans la province d'Adana.7
Les événements de SASSOUN en 1894 ont déclenché les massacres contre les Arméniens. En effet, le sultan Abdulhamid a ordonné en personne les massacres à la suite du refus des Arméniens de SASSOUN de payer la double imposition entre juillet et septembre 1894. Les Kurdes, assistés par les hamidiés, régiments de cavalerie kurde, venus en renfort, assiègent puis massacrent du 18 août au 10 septembre 1894 la population arménienne de SASSOUN, démarrant une vague de massacres à travers tout l'Empire Ottoman qui durera jusqu'en 1896.8
Le sultan Abdulhamid, à l'origine de ces massacres, est mort le 10 février 1918 (10 2 1918).
10x2x1918 = 38360
Le code postal 38360 est celui du village de SASSENAGE dans l'Isère.
SASSOUN = SASSENAGE
À partir des événements de SASSOUN, les Arméniens ont NAGÉ dans un véritable bain de sang.
Dieu associe la mort du sultan Abdulhamid à SASSENAGE car le nom de ce village est symbolique :
SASSENAGE = SS ANGE SAE
SAE = 19+1+5 = 25
Le chef-lieu du département 25 est la ville de BESANCON.
Le sultan Abduhlamid est à l'origine des premiers massacres en ARMENIE donc Dieu te révèle à travers lui que tu te comporteras comme un SS si tu votes pour un parti politique capitaliste le jour de l'élection présidentielle car tu seras alors responsable de l'extermination d'un enfant toutes les 5 secondes. Ton bulletin de vote est une ARME alors Dieu a multiplié les signes pour que tu ne NIE pas ta responsabilité dans ce massacre si tu votes pour le maintien du système capitaliste. SASSENAGE se situant dans l'ISÈRE, Dieu te fait comprendre que tu dois voter pour éradiquer la MISÈRE parce qu'elle tue des millions d'êtres humains chaque année donc ne NIE pas les signes que Dieu t'envoie et vote pour le parti politique de BESANCENOT, le NPA, lors de l'élection présidentielle, afin de pouvoir un jour devenir un ANGE.
Les premiers massacres en ARMÉNIE ont donc débuté le 18 août 1894.
18 août = 18 8
18x8 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
À travers les massacres en ARMÉNIE, Dieu nous montre que l'électeur ARME César : le riche – en le laissant accaparer la majeure partie des richesses de la Terre – et NIE ensuite sa responsabilité dans le massacre de millions de vies humaines.
Le génocide de 1915-1916
Au cours de la Première Guerre mondiale, l'Empire ottoman se retrouve aux côtés de l'Allemagne et de l'Empire austro-hongrois contre la France, le Royaume-Uni et leur allié russe. L'Arménie est à nouveau un champ de bataille. Des Arméniens se retrouvent dans les deux camps. Le gouvernement ottoman profite de la guerre pour se débarrasser de tout contrôle étranger dans la question arménienne. Les défaites turques face aux Russes exacerbent le ressentiment contre les Arméniens.
Mû par un mouvement nationaliste fort, le gouvernement ottoman « Jeunes-Turcs » souhaitaient créer un état touranien, rassemblant tous les peuples considérés comme turcs, de la Turquie à l'Asie centrale. L'obstacle majeur à cette unification était les Arméniens.9
Première phase du génocide (avril-automne 1915)
En février 1915, le comité central du parti et des ministres du cabinet de guerre, Talaat Pacha et Enver en particulier, met secrètement au point un plan de destruction qui sera exécuté dans les mois suivants. Il est présenté officiellement comme un déplacement de la population arménienne — que le gouvernement accuse de collaborer avec l'ennemi russe — loin du front. En fait, la déportation n'est que le masque qui couvre une opération d'anéantissement de tous les Arméniens de l'Empire ; l'éloignement de nombre des victimes du front, lors des différentes phases des massacres, enlève toute vraisemblance à l'accusation de collaboration avec l'ennemi.
Désarmement des conscrits arméniens
La première mesure, prise dès février 1915, est le désarmement des soldats et gendarmes arméniens enrôlés dans l'armée ottomane, bien qu'Enver Pacha, à l'issue d'une inspection sur le front du Caucase en février 1915 déclare que « les soldats arméniens de l'armée ottomane ont rempli scrupuleusement tous leurs devoirs sur le champ de guerre, ce dont je puis témoigner personnellement. Je vous prie d'exprimer toute ma satisfaction et ma reconnaissance au peuple arménien dont le parfait dévouement au gouvernement impérial ottoman est bien connu ». Ils sont relégués dans des bataillons spécialement créés et affectés aux travaux et à la voirie, puis éliminés par petits groupes au cours de l'année 1915, par les gendarmes chargés de leur encadrement ou par les Kurdes appelés en renfort.
Rafle du 24 avril 1915
Le 24 avril 1915, le ministre de l'intérieur Talaat Pacha du gouvernement Jeunes-Turcs donne l'ordre de l'arrestation des intellectuels arméniens. L'opération débute à 20 heures à Constantinople et est conduite par Bedri Bey, le chef de la police de Constantinople. Dans la nuit du 24 au 25 avril 1915, 235 à 270 intellectuels arméniens sont alors arrêtés, en particulier des ecclésiastiques, des médecins, des éditeurs, des journalistes, des avocats, des enseignants, des artistes et des hommes politiques dont des députés au parlement ottoman. Une seconde vague d'arrestation est lancée le 25 avril et conduit à l'arrestation de 500 à 600 Arméniens. Au total on estime que 2 345 notables Arméniens ont été arrêtés en quelques jours, avant d'être déportés puis massacrés dans leur majorité dans les mois suivants.
Déportation vers les camps
Dans les provinces orientales, l'opération se déroule en tous lieux de façon similaire. Les notables sont systématiquement arrêtés au motif d'un prétendu complot contre le gouvernement et leurs maisons perquisitionnées à la recherche d'armes et d'indices. Ceux-ci sont ensuite torturés pour soutirer des aveux, déportés vers une destination inconnue puis massacrés dans les environs. Un avis de déportation est publié en vertu duquel toute la population (les personnes inaptes à la mobilisation générale) doit être évacuée vers les déserts de Syrie et de Mésopotamie en convois de femmes, d'enfants et de personnes âgées qui quittent la ville à intervalles réguliers, à pied, avec peu ou pas de bagages, accompagnés de gendarmes à cheval. Au total, 306 convois de déportés sont dénombrés entre avril et décembre 1915, avec un total de 1 040 782 personnes recensés comme faisant partie de ces convois.
Les hommes restants sont systématiquement massacrés dès le départ du convoi, les plus belles femmes et les enfants sont enlevés pour être revendus en tant qu'esclaves, tandis que le reste du convoi est décimé à chaque étape du convoi, tant par les gendarmes chargés de les escorter que par des tribus kurdes et autres miliciens recrutés à cette fin. Seuls quelques milliers de personnes survivent à cette déportation. Dans les vilayets de Bitlis et de Diarbékir, presque tous les Arméniens sont assassinés sur place.
Constatant les massacres, les gouvernements alliés font une déclaration le 24 mai 1915 dans laquelle ils accusent la Turquie de « crimes contre l'humanité et la civilisation » et s'engagent à tenir pour responsable les membres du gouvernement ottoman ainsi que toute personne ayant participé aux massacres. En représailles, le 27 mai 1915, le gouvernement ottoman promulgue la loi Tehcir (loi provisoire de déportation) autorisant l'expulsion de la population arménienne hors de l'Empire ottoman, sous couvert de « déplacement de populations suspectes d'espionnage ou de trahison ». Elle sera abrogée officiellement le 4 novembre 1918 par le parlement ottoman d'après-guerre, la déclarant inconstitutionnelle.
Deuxième phase du génocide (automne 1915-automne 1916)
Le 15 septembre 1915, le ministre de l'intérieur Talaat Pacha envoie un télégramme à la direction du parti Jeunes-Turcs à Alep : « Le gouvernement a décidé de détruire tous les Arméniens résidant en Turquie. Il faut mettre fin à leur existence, aussi criminelles que soient les mesures à prendre. Il ne faut tenir compte ni de l'âge ni du sexe. Les scrupules de conscience n'ont pas leur place ici » ; puis, dans un second télégramme : « Il a été précédemment communiqué que le gouvernement a décidé d’exterminer entièrement les Arméniens habitant en Turquie. Ceux qui s’opposeront à cet ordre ne pourront plus faire partie de l’administration. Sans égard pour les femmes, les enfants et les infirmes, si tragiques que puissent être les moyens d’extermination, sans écouter les sentiments de la conscience, il faut mettre fin à leur existence ».
Des prisonniers de droit commun sont libérés afin d'assister les forces armées ottomanes dans l'exécution des massacres. Ils seront regroupés sous une entité militaire secrète nommée « Organisation spéciale ». Créée en juillet 1914 par le comité central du Comité Union et Progrès (CUP) avec la coopération du ministère de l'Intérieur et de celui de la Justice, l'« Organisation spéciale » est spécialisée dans l'extermination des convois de déportés arméniens. Ils étaient entraînés dans le centre de Çorum avant d'être envoyés massacrer les Arméniens. L'existence de l'« Organisation spéciale » a été révélée en 1919 lors du procès du Parti Union et Progrès.
Dans le reste de l'Empire, le programme prend les formes d'une déportation, conduite par chemin de fer sur une partie du parcours, les familles restant parfois réunies. Les convois de déportés — environ 870 000 personnes — convergent vers Alep, en Syrie, où une Direction générale de l'installation des tribus et des déportés les répartit selon deux axes : au sud, vers la Syrie, le Liban et la Palestine — une partie survivra ; à l'est, le long de l'Euphrate, où des camps de concentration, véritables mouroirs, sont improvisés. Les déportés sont peu à peu poussés vers Deir ez-Zor. Là, en juillet 1916, ils sont envoyés dans les déserts de Mésopotamie où ils sont tués par petits groupes ou meurent de soif. Les derniers regroupements de déportés le long du chemin de fer de Baghdad, à Ras-ul-Aïn, à Intilli sont, eux aussi, exterminés en juillet 1916. Seul survit un tiers des Arméniens : ceux qui habitaient Constantinople et Smyrne, les personnes enlevées, les Arméniens du vilayet de Van, sauvés par l'avancée de l'armée russe, soit deux cent quatre-vingt-dix mille survivants.
Le gouvernement ottoman s'emploie à systématiquement éliminer toute preuve du génocide. Les photographies des convois de déportés sont interdites, les missionnaires sont empêchés d'apporter nourriture, eau, vêtements aux rescapés, la censure officielle interdit aux médias de faire mention des massacres. Un système de double ordre est mis en place : les ordres effectifs sont envoyés chiffrés aux autorités provinciales, tandis que des faux ordres niant toute intention génocidaire sont formulés en public. Tout fonctionnaire s'opposant à l’exécution du génocide est muté, démis de ses fonctions ou fusillé. Parmi ces fonctionnaires réfractaires, Hasan Mazhar Bey, gouverneur d'Ankara jusqu'en août 1915, dirigea par la suite la commission Mazhar aboutissant aux cours martiales turques de 1919-1920.
Bilan des massacres
Lorsque, à la fin de 1916, les observateurs font le bilan de l'anéantissement des Arméniens de Turquie, ils peuvent constater que, à l'exception de trois cent mille Arméniens sauvés par l'avancée russe et de quelque deux cent mille habitants de Constantinople et de Smyrne qu'il était difficile de supprimer devant des témoins, il ne persiste plus que des îlots de survie : des femmes et des jeunes filles enlevées, disparues dans le secret des maisons turques ou rééduquées dans les écoles islamiques comme celle que dirige l'apôtre du turquisme Halide Edip ; des enfants regroupés dans des orphelinats pilotes ; quelques miraculés cachés par des voisins ou amis musulmans ; ou, dans des villes du centre, quelques familles épargnées grâce à la fermeté d'un vali ou d'un kaïmakan. Ces massacres auront coûté la vie à un nombre d'individus variant, selon les auteurs, de six cent mille à un million et demi de personnes, représentant entre la moitié et les deux tiers de la population arménienne de l'époque.
Procès des Unionistes, Constantinople, 1919
En 1919 se tient à Constantinople le procès des Unionistes, en cour martiale turque. Les principaux responsables du génocide y sont condamnés à mort par contumace, ayant pris la fuite en 1918, juste après avoir détruit la plupart des documents compromettants. La cour martiale établit la volonté des unionistes d'éliminer physiquement les Arméniens en utilisant une organisation spéciale.
La reconnaissance et la négation du génocide
La question de la reconnaissance du génocide arménien, peu évoquée durant une grande partie du XXe siècle, a été ravivée d'abord par l'apparition du terrorisme arménien durant les années 1970 (notamment par le CJGA et l'ASALA), puis à l'occasion de l'ouverture de négociations entre l'Union européenne et la Turquie en vue d'une adhésion éventuelle de celle-ci. Le Parlement européen a reconnu le génocide arménien le 18 juin 1987. Cette question est fréquemment abordée lors des débats concernant la conformité de la politique de l'État turc avec les valeurs morales de l'Union et, en particulier, son attachement au respect des droits de l'homme.
La position turque
Le gouvernement turc actuel maintient une position ferme de refus de la reconnaissance du génocide et condamne vivement toute reconnaissance du génocide par des gouvernements ou parlements étrangers. Le gouvernement turc ne niait pas le génocide directement après la Première Guerre mondiale. Il est présenté comme une cruelle conséquence de la guerre, appelée tragédie de 1915, et non comme un acte volontaire et formalisé.
Les enjeux pour la Turquie
Au-delà des implications morales et psychologiques, aussi bien pour les États que pour les descendants des populations impliquées, la reconnaissance officielle d'un génocide en 1915-1916 implique des enjeux financiers et territoriaux importants pour la Turquie. En effet, reconnaître le génocide arménien ouvrirait la voie à des demandes de dommages et intérêts auxquelles la Turquie ne veut pas céder. La Turquie pourrait être contrainte à payer une indemnisation pour les préjudices humain, moral et matériel (comme l'Allemagne a dû le faire après la Shoah), voire de restituer des territoires à l'Arménie (le traité de Sèvres, mis à mal par le génocide puis par le traité de Brest-Litovsk, donnait à l'Arménie des territoires situés sur l'actuelle Turquie, mais aussi en Azerbaïdjan et en Géorgie).
Selon Taner Akcam, les coupables du génocide font partie des fondateurs de la République de Turquie née sept ans plus tard et le gouvernement turc ne peut donc pas « accepter que parmi ''les grands héros qui ont sauvé la patrie'' certains ont été des assassins ». Reconnaître le génocide arménien reviendrait à remettre en cause les fondements de l'identité nationale turque, parce que ce serait admettre que la république turque a été créée à partir de l'élimination systématique des Arméniens et de la spoliation de leurs biens.
En avril 2005, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan a proposé au président arménien Robert Kotcharian de mettre en place une commission d'historiens. Le ministre arménien des Affaires étrangères Vardan Oskanian avait répondu en voyant dans la proposition de création de commission de la Turquie une volonté de « réécrire son histoire de manière éhontée et de vouloir la propager dans les autres pays ». Même si le gouvernement turc affirme dans le même temps avoir ouvert toutes ses archives, cette affirmation n'a jamais pu être accréditée par des historiens indépendants.
Pour la première fois le 23 avril 2014, Recep Tayyip Erdogan adresse, dans un communiqué, les condoléances d'Ankara aux « petits-fils des Arméniens tués en 1915 ». Cela est considéré par certains comme « un premier pas historique vers la reconnaissance du génocide arménien [par] la Turquie ». Le texte indique que « C'est un devoir humain de comprendre et de partager la volonté des Arméniens de commémorer leurs souffrances pendant cette époque » puis que « Nous [la Turquie] souhaitons que les Arméniens qui ont perdu la vie dans les circonstances du début du XXe siècle reposent en paix et nous exprimons nos condoléances à leurs petits-enfants. »
Selon un sondage de janvier 2015, moins de 10 % des Turcs sont favorables à une reconnaissance du génocide arménien par la Turquie.
Autres positions
En Allemagne, le Bundestag a émis une résolution condamnant les massacres sans utiliser le mot « génocide ». D'autres pays ont refusé de considérer les massacres arméniens comme un génocide : c'est le cas du Royaume-Uni (le Pays de Galles, l'Écosse et l'Irlande du Nord ont reconnu le génocide arménien) et de l'État d'Israël, mais la plus haute autorité religieuse d’Israël, en la personne du grand rabbin, a reconnu le génocide arménien.
La position des historiens
La communauté des historiens qualifie ces événements de génocide. Plusieurs historiens et spécialistes de la Shoah, dont Elie Wiesel et Yehuda Bauer, ont fait connaître publiquement leur position le 9 juin 2000 dans le New York Times, pour déclarer « incontestable la réalité du génocide arménien et inciter les démocraties occidentales à le reconnaître officiellement ». L'Institut de l'Holocauste et des génocides (situé à Jérusalem), et l'Institut pour l'étude des génocides (situé à New York) ont établi comme un fait historique le génocide arménien. Pierre Vidal-Naquet, grande figure de la lutte contre le négationnisme, affirme « qu'il est évident que dans le cas du massacre des Arméniens, l’État turc est négationniste » dénonçant dans le même temps, avec d'autres historiens de renom, « les interventions politiques de plus en plus fréquentes dans l'appréciation des événements du passé et par les procédures judiciaires touchant des historiens […] », rappelant que « dans un État libre, il n'appartient ni au Parlement ni à l'autorité judiciaire de définir la vérité historique ».
L'État turc et une « poignée d'historiens aux ordres » ont développé des études niant le génocide arménien. Ces historiens turcs ou s'intéressant à l'histoire ottomane et/ou turque refusent la qualité de génocide à ces événements ; ils se contentent de parler de massacres plus ou moins spontanés et de déportations rendues nécessaires par les circonstances, et minimisent également le nombre de victimes. Même si de nombreux pays et instances gouvernementales ou religieuses dans le monde les ont officiellement définis comme génocide, la Turquie continue à contester l'ampleur de ce qu'elle appelle des « tueries » ou « le prétendu génocide arménien », ajoutant qu'il y a aussi eu beaucoup de Turcs massacrés durant cette période. Cette position est dénoncée tant par les survivants que par la communauté des historiens en général.
Par ailleurs, l'Association internationale des historiens spécialisés dans l'étude des génocides (International Association of Genocide Scholars), représentant la majorité des historiens européens et d'Amérique du Nord, a publié une lettre ouverte adressée au Premier ministre turc le 13 juin 2005 afin de lui rappeler que ce n'était pas seulement la communauté arménienne, mais des centaines d'historiens, de nationalités différentes, indépendants de tout gouvernement, qui avaient étudié et établi la réalité du génocide arménien :
« Nier la réalité factuelle et morale du génocide arménien relève non pas de l'étude historique mais d'une propagande destinée à affranchir les coupables de leurs responsabilités, en accusant les victimes, et en effaçant la signification morale de leurs crimes. »10
La Turquie nie l'existence du génocide arménien de la même manière que nous nions l'existence du génocide perpétré par le système capitaliste.
TURQUIE = R QUI TUE
Le génocide perpétré par la TURQUIE contre l'ARMENIE, signifie que nous vivons dans une ÈRE QUI TUE un enfant toutes les 5 secondes car l'électeur ARME les capitalistes le jour de l'élection présidentielle et NIE sa responsabilité dans le massacre de millions de vies humaines.
À l'instar de la TURQUIE vis-à-vis du génocide arménien, nous NIONS le génocide structurel inhérent au système capitaliste mais Dieu multiplie les signes pour nous faire comprendre que c'est un système économique QUI TUE de nombreux innocents.
« GOD » signifie « DIEU » en anglais.
GOD = 7+15+4 = 26
Les sous-préfectures du département 26 sont les communes de NYONS et DIE.
« DIE » signifie « MOURIR » en anglais – donc DIEU nous révèle que nous sommes responsables de la MORT de millions d'êtres humains en votant pour le système capitaliste mais nous NYONS notre responsabilité dans ce massacre.
La définition du « génocide » dans la Convention réprimant le génocide et celle de l'« extermination » en tant que crime contre l'humanité établissent toutes deux clairement qu'un acte de génocide doit être « délibérée » ou « intentionnel ».
Nous savons délibérément que si nous ne redistribuons pas équitablement les richesses de la Terre, plus de 10 millions d'êtres humains mourront de faim et de maladies chaque année, mais pourtant nous laissons intentionnellement les prédateurs du capitalisme piller les richesses du Tiers Monde sans les obliger à redistribuer ne serait-ce qu'un petit pourcentage de leurs profits exorbitants pour parvenir à sauver des millions d'êtres humains d'une mort certaine.
Ces hommes, femmes et enfants, sont ainsi exterminés étant donné que leur permettre de survivre entraînerait une diminution des marges des capitalistes. La mort de ces millions d'êtres humains est donc un génocide car ce massacre de masse est « intentionnel » et « délibéré » dans la mesure où les capitalistes, et plus généralement les riches, ont délibérément décidé que des millions d'innocents seraient tués pour continuer à maximiser leurs profits.
Dans son ouvrage Le capitalisme, un génocide structurel, Gary Leech écrit que « le capitalisme constitue un génocide structurel basé sur une classe qui vise les pauvres et qui ne devrait pas être considéré comme un système légitime d'organisation de la société. Pourtant, le capitalisme est considéré comme un système juste par des centaines de millions de personnes dans le monde. »11
« Dans un système capitaliste, le génocide structurel est perpétré par la "remarquable uniformité de comportement" d'une classe (les capitalistes, avec la large complicité des consommateurs du Nord) contre une autre classe (les travailleurs, globalement définis en incluant les paysans et ceux qui survivent dans le secteur informel, en particulier dans le Sud). En résumé, cela constitue un génocide structurel basé sur une classe ou ce que le sociologue Mickaël Mann a appelé un "classicide", qui se réfère au ''massacre intentionnel de classes sociales entières.'' »12
« D'autres exemples similaires de génocides et de massacres se sont produits sous le fascisme (et le nazisme) et sous le capitalisme : extermination des peuples autochtones dans les Amériques ; morts d'Africains dans la traite négrière ; et tueries perpétrées par les gouvernements militaires en Argentine, au Chili, au Guatemala, au Salvador et dans d'autres pays d'Amérique Latine durant les années 70 et 80, pour ne nommer que ceux-là.
Dans chacun des cas communistes, de même que dans l'exemple nazi, le principal auteur, soit par la violence physique directe, soit par la violence structurelle, se trouvait être un dirigeant tyrannique facilement identifiable. Cependant, contrairement au cas de Staline et Polt Pot, on ne peut mettre un visage sur la violence structurelle du capitalisme, précisément parce qu'elle est systémique. Reprenant l'idée de Galtung sur l'aspect anonyme de la violence structurelle, Slavoj Zizek soutient que la violence systémique inhérente au capitalisme : ''est beaucoup plus troublante que toute autre forme de violence socio-idéologique et pré-capitaliste directe : cette violence-là n'est plus imputable aux vrais individus et à leur 'malveillance', elle est purement 'objective', c'est-à-dire systémique et anonyme.(...) Notre refus de voir en face les conséquences de la violence systémique est particulièrement flagrant dans les débats autour des crimes du communisme. La source responsable de ces crimes n'est pas difficile à identifier : il s'agit bien d'un mal subjectif exécuté par des agents sociaux, ayant, eux, 'fait quelque chose de mal'. Nous pouvons même identifier les sources idéologiques de ces crimes – l'idéologie totalitaire, Le Manifeste du parti communiste, Rousseau, voire Platon. Mais lorsqu'on s'intéresse aux millions de morts engendrés par la globalisation capitaliste, depuis la tragédie mexicaine du XVIe siècle, jusqu'au génocide du Congo belge il y a de cela un siècle, toute forme de responsabilité est très largement niée. Ces événements semblent s'être produits sous l'effet d'un processus 'objectif' qui n'aurait été mis en place et exécuté par personne, et pour lequel il n'existerait aucun 'manifeste capitaliste' ".
Dans l'ensemble, le groupe ou la collectivité politique qui est victime de la violence structurelle inhérente au capitalisme se compose des milliards de paysans du Sud, qui restent dépendants de l'agriculture pour leur survie, et des millions d'habitants des bidonvilles, qui ont été dépossédés de leurs terres et qui luttent pour survivre dans le secteur informel. Autrement dit, les victimes principales sont les classes inférieures, ou classes ouvrières au sens le plus large du terme. La violence structurelle inhérente au capitalisme est donc manifestement fondée sur la notion de classe. Elle vise une couche socio-économique particulière, marquée par des caractéristiques de race ou de sexe. Le dénominateur commun entre toutes ces victimes est leur relation avec les modes dominants de production dans le système capitaliste. »13
Ainsi, en votant pour le système capitaliste, nous sommes complices d'un véritable génocide.
Le Franco-Arménien le plus célèbre de l'histoire contemporaine est le chanteur Charles AZNAVOUR.
En soutenant publiquement Nicolas Sarkozy lors de l'élection présidentielle de 2012, il a soutenu un système économique qui extermine un enfant toutes les 5 secondes.
AZNAVOUR = AVOU NAZ R
R = 18
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler.
Désormais, AVOUE que tu es un NAZI quand tu votes pour une idéologie qui extermine des millions d'êtres humains chaque année – car ton bulletin de vote est une ARME, alors ne NIE plus ta responsabilité dans ce GÉNOCIDE : Dieu multiplie les signes qui le prouvent.
Charles AZNAVOUR est mort le 1er octobre 2018 (1 10 2018).
18 = AH = Adolf Hitler
1 10 = AJ
A J se prononce AGIS.
Dieu te transmet le message suivant : « AVOUE que tu es un NAZI. Prends conscience que tu votes pour une idéologie criminelle et AGIS en mettant un terme au GÉNOCIDE perpétré par le système capitaliste. »
Le mot GÉNOCIDE a été forgé par Raphael Lemkin en 1943.
LEMKIN = 12+5+13+11+9+14 = 64
Le chef-lieu du département 64 est la ville de PAU.
Actuellement, les principales victimes du génocide perpétré par le système capitaliste sont les PAU-VRES qui ont bien souvent la « PAU » sur les os.
PAU = 16+1+21 = 38
Le département 38 est celui de l'ISÈRE.
ISÈRE = MISÈRE
Dieu nous montre que l'extermination de millions d'êtres humains tués chaque année par la MISÈRE, constitue un GÉNOCIDE, car le capitalisme permet à une minorité de la population mondiale d'accaparer la majeure partie des richesses de la Terre en laissant mourir de faim et de maladies des millions d'hommes, femmes, et enfants, qui sont privés de ces richesses indispensables à leur survie.
Raphael Lemkin est né le 24 juin 1900.
24 juin = 24x6 = 144
144 se prononce 100 44.
Jules CESAR est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
CESAR = RACES
Adolf Hitler a perpétré un GÉNOCIDE car il avait établit une hiérarchie des RACES.
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
À travers le dirigeant du IIIe REICH, Dieu nous fait ainsi comprendre que la COURSE au profit de CESAR : le RICHE capitaliste – génère le GÉNOCIDE des pauvres.
Raphael Lemkin est né le 24 juin 1900.
1900 = 19 00
19 = le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous montre (00) le message suivant : « TUE LE RICHE : CESAR – en stoppant sa COURSE au profit : le système capitaliste – afin de mettre un terme au GÉNOCIDE. »
Raphael Lemkin est mort le 28 août 1959 (28 8 1959).
28x8x1959 = 438816
43+88+16 = 147
14 7 = 14 juillet
Le 14 juillet est le jour symbolique de la RÉVOLUTION française.
Dieu nous demande désormais de faire la RÉVOLUTION pour renverser le système capitaliste afin de mettre un terme définitif au GÉNOCIDE. Comme le dit Gary Leech : « Que la Révolution commence ! ».
Je vous conseille fortement de lire l'ouvrage de GARY LEECH : Le capitalisme, un génocide structurel, car cet auteur est l'un des rares à reconnaître publiquement et combattre le génocide perpétré par le système capitaliste.
LEECH = ECHELLE
Pour monter l'ÉCHELLE qui te mènera dans le royaume de Dieu, tu dois reconnaître l'existence du génocide perpétré par le système capitaliste et lutter pour y mettre un terme.
Si tu suis les signes, tu monteras l'ÉCHELLE qui mène au paradis mais si tu les ignores, GARE à toi, car tu descendras cette ÉCHELLE pour aller en enfer.
La première République arménienne
La Révolution russe de 1917 modifie radicalement la situation des Arméniens. L'effondrement de l'armée russe a pour conséquence l'avancée de l'armée ottomane vers le Caucase. Par le traité de Brest-Litovsk (1918), les bolcheviks abandonnent Kars, Ardahan et Bakou aux Turcs. Les peuples de Transcaucasie (Arméniens, Géorgiens et Azéris) n'ont pas de position commune face à la situation. Seules face aux Turcs, les troupes arméniennes remportent en mai les victoires de Sardarapat, Bacha-Baran et Karakilisa. La Turquie reconnaît l'indépendance arménienne par le traité de Batoum le 4 juin 1918. Son territoire ne compte plus que quelque dix mille kilomètres carrés. Le parti Dachnak y assume le pouvoir. Le territoire de la république est limité à une petite région autour d'Erevan encombrée de réfugiés, livrée à l'anarchie et à la misère. La défaite ottomane face aux Alliés occidentaux (30 octobre 1918) change à nouveau dramatiquement la donne : lors de la Conférence de paix de Paris (1919), les délégués arméniens, qui comptent sur le soutien américain, revendiquent la création d'une « Arménie intégrale » qui irait jusqu'à la mer Méditerranée. Le traité de Sèvres (10 août 1920) leur donne partiellement satisfaction : l'Arménie obtient une partie substantielle de l'Est de la Turquie actuelle. Le territoire arménien compte alors quelque quarante-six mille kilomètres carrés.
Le Turc Mustafa Kemal refuse cependant d'entériner ce traité et reprend les armes, c'est la guerre arméno-turque. Après que le Sénat américain eut rejeté l'idée d'un mandat des États-Unis sur l'Arménie, le rapprochement de Mustapha Kemal et des Bolcheviks russes scelle le destin de la République d'Arménie : par le traité d'Alexandropol (2 décembre 1920), les Arméniens doivent renoncer aux frontières du traité de Sèvres. Le même jour, les Bolcheviks s'emparent d'Erevan. En Cilicie, la situation est tout aussi dramatique : après la victoire de Mustafa Kemal sur les troupes françaises qui les protégeaient (1921), les Arméniens se réfugient en Syrie ou émigrent dans d'autres parties du monde.
Après une brève révolte contre les Bolcheviks (février 1921), une Arménie « indépendante » se retrouve dans l'orbite de l'Union soviétique. Suivent deux traités qui amputent encore l'Arménie d'une partie de son territoire : les Bolcheviks cèdent à la Turquie Kars et Ardahan en échange de Batoum qui devient géorgienne ; ensuite, pour s'assurer l'appui des Azéris, Moscou fait du Haut-Karabagh et du Nakhitchevan respectivement une région et une république autonomes de la RSS d'Azerbaïdjan.
Des réformes internes ont toutefois pu être menées par la Première République, et des élections libres ont été tenues, auxquelles les femmes, qui obtiennent le droit de vote en 1919, participent.
Le régime soviétique
L'Arménie est la plus petite république de l'URSS, s’étendant sur 29 800 kilomètres carrés. Les villes de Kars et Ardahan ont été données à la Turquie. Le Nakhitchevan et le Haut-Karabagh sont devenus la propriété de l’Azerbaïdjan qui est elle aussi soviétique et la Géorgie a repris les provinces d’Alkhalkalak et Akhaltskha. L'Arménie soviétique est, dès l’origine, marquée par la répression du nationalisme. Moins de deux mois après sa « soviétisation », l’Arménie se révolte et rétablit un gouvernement dachnak (du 8 mars au 2 avril 1921). Mais les Russes reviennent à Erevan et les Dachnaks doivent se réfugier en Perse.
En 1922, l’Arménie est intégrée à l'Union fédérale des républiques socialistes soviétiques de Transcaucasie et ensuite à la République socialiste fédérative soviétique de Transcaucasie. En 1936, elle devient une des quinze républiques fédérées de l'URSS, sans que ceci change néanmoins quoi que ce soit au fait que le Parti communiste arménien n'est que l'émanation du PCUS. Comme partout en URSS, le régime persécute l'Église. Les Arméniens se tournent vers l'ancien catholicossat de Sis, transféré à Alep puis à Antélias au Liban (1930). Devant l'échec de sa politique d'éradication religieuse, le régime soviétique travaille à inféoder l'Église. Le catholicos d'Etchmiadzine Khoren Ier qui lui résiste est assassiné en 1938. L'Église arménienne, fort affaiblie, apporte néanmoins son soutien au régime pendant la guerre contre l'Allemagne nazie. En 1956, le catholicos Vazgen Ier qui collabore avec le régime soviétique, entre en conflit avec les Arméniens de la diaspora à propos de l'élection du catholicos d'Antélias.
Avec les débuts de la guerre froide en 1947, l’URSS relance la question de l'Arménie. Alors que la Grèce, en tension latente et en risque de guerre civile, et la Turquie viennent d’être les premiers bénéficiaires de la doctrine Truman (11 mars 1947) et du plan Marshall, l’URSS demande officiellement, le 24 octobre 1947, à la tribune de l’ONU, le retour de Kars et Ardahan pour l'Arménie. La terreur stalinienne sévit en Arménie comme dans toute l'URSS : collectivisation et purges (en Arménie on est accusé de « dachnakisme »). Une des tragédies de l'époque stalinienne est le retour au pays, à l'invitation du gouvernement soviétique, d'une centaine de milliers d'Arméniens de la diaspora. Beaucoup finiront au goulag. Environ 80 000 d'entre eux finiront par être autorisés à quitter à nouveau le pays.
De 1953 à 1987
L’économie de l’Arménie se développe après la mort de Joseph Staline. Favorisés par le très bon ensoleillement des flancs montagneux, les vergers se rentabilisent et la production de blé, de betterave, de tabac et de coton croît sensiblement. Mais l’industrie, depuis le début des années 1960, donne à l’Arménie un visage plus moderne. L’effort principal a d’abord porté sur l’aménagement hydroélectrique et l’extraction de matières premières (cuivre, aluminium, plomb, marbre). Depuis le milieu des années 1970, la chimie et le nucléaire se sont installés à leur tour, à tel point que, parmi les sept villes les plus polluées de l’URSS, cinq sont arméniennes : Erevan la capitale, Alaverdi, Kirovakan, Kapan et Katcharan.
Par ailleurs, le mouvement nationaliste ne s’est jamais résigné. Au contraire, il resurgit de temps en temps avec vigueur. Les demandes d’émigration en sont le premier signe. Entre 1956 et 1972, vingt-huit mille Arméniens ont quitté l’URSS, douze mille pour les seules années 1979-1980 et cinq mille en 1987. Après les juifs, c’est le plus important contingent national à fuir l’URSS, essentiellement pour les États-Unis. Le manque de liberté, le refus de prendre en compte les revendications nationales et les difficultés économiques sont les principales causes de ces migrations, soit vers l’extérieur des frontières de l’URSS, soit vers d’autres républiques soviétiques.
Le 24 avril 1965, lors des célébrations du cinquantième anniversaire du génocide, des dizaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues d’Erevan, débordant le service d’ordre et revendiquant les territoires arméniens occupés par la Turquie. On frisa l’incident diplomatique turco-soviétique et Moscou dut procéder à des remaniements au sein de la direction de la république d’Arménie. Deux ans plus tard, Erevan construit son mémorial en souvenir du génocide. En 1966 et pour la première fois en URSS depuis la liquidation de l’opposition de gauche, un parti clandestin est fondé : le Parti de l’unité nationale. La plupart de ses militants ont été arrêtés, certains sont morts au goulag et trois ont été fusillés à Moscou en 1979. Les survivants, qui ont bénéficié de la libéralisation du régime depuis 1986, ont fondé en 1987 l’Union pour l’autodétermination nationale (UAN).
Fin du régime soviétique
Presque cent mille personnes défilent à Erevan les 17 et 18 octobre 1987 en faveur des droits nationaux et pour lutter contre la pollution. Vers le 11 février 1988, c'est au tour du Haut-Karabagh de se mettre en effervescence. Cette région, pourtant sous contrôle azéri, est habitée majoritairement par des Arméniens (plus de 80 %). Presque soixante-dix mille personnes défilent dans la capitale du Karabagh (Stepanakert) ce 11 février pour demander l'indépendance vis-à-vis de l'Azerbaïdjan et faire partie de l'Arménie avec l'appui de cette dernière. Plusieurs autres manifestations se répètent à Erevan pendant l'année 1988 pour la même raison. Mais la réaction de l'Azerbaïdjan est vive.
Des milliers d'Azéris défilent à Sumqayıt contre l'indépendance du Haut-Karabagh la nuit du 28 février. La manifestation est sanglante : le bilan officiel est de trente-deux Arméniens tués mais le bilan officieux est de cinq cent quarante-six morts. Certaines personnes parlent de véritable pogrom. Le rattachement du Karabagh à l'Arménie semble très périlleux. Cependant, le soviet suprême de l'Arménie veut et vote le rattachement du Haut-Karabagh vers le 15 juin 1988. Beaucoup d'Arméniens font grève, par exemple à Stepanakert et à Erevan, pour soutenir ce vote. Les Azéris, de leur côté, manifestent contre les revendications arméniennes. Un nouveau pogrom a lieu dans la ville de Kirovapat. Les affrontements entraînent de nombreux mouvements de population, aussi bien d'Arméniens fuyant l'Azerbaïdjan que d'Azéris fuyant l'Arménie.
Le 7 décembre 1988, un terrible tremblement de terre ravage l'Arménie, provoquant la mort de trente mille personnes. L'épicentre du séisme est situé dans la région de Gyumri.14
Sous l'impulsion de la diaspora arménienne dans le monde, les organisations humanitaires de tous pays ont porté assistance aux sinistrés.
Immédiatement après ce tremblement de terre, la centrale nucléaire de Metsamor fut arrêtée par mesure de sécurité.15
Le séisme a eu lieu le 7 décembre 1988 (7 12 1988).
7x12x1988 = 166992
166992 = 69 69 12
Ce séisme fut d'une amplitude de 6,9 sur l'échelle de Richter.
6,9 = 69
69 69 12 =
69 ans + 12 mois est égal à 70 ans.
Le séisme a eu lieu 70 ans après la signature du traité de BATOUM.
Le traité de BATOUM a été signé à Batoumi entre la République démocratique d'Arménie et l'Empire ottoman, le 4 juin 1918. C'est le premier traité de l'Arménie. Il se composait de 14 articles.16
L'Empire ottoman était surnommé la « Sublime PORTE ».
BATUM se prononce BATOUM.
Nicolas BATUM est un joueur de basket français qui évolue en NBA et il a joué pendant 7 ans avec l'équipe de PORTLAND.
PORTLAND = PORTE
Nicolas BATUM est né le 14 décembre 1988, soit 7 jours après le séisme du 7 décembre 1988.
Nicolas a PORTÉ durant 7 ans le numéro 88 lorsqu'il jouait avec l'équipe de PORTLAND.
88 = HH
Les deux H assemblés symbolisent l'ÉCHELLE qui nous permettra d'ouvrir la sublime PORTE du paradis.
Le séisme en Arménie a eu lieu le 7 décembre 88 (7 12 88).
7x12 = 84
Le chef-lieu du département 84 est Avignon dont la maire est Cécile HELLE.
« HELL » signifie « ENFER » en anglais.
HELL = ECHELLE
Nicolas Batum est né 7 jours après le séisme du 7 décembre 1988 et il a joué pendant 7 ans avec l'équipe de Portland.
7 ans est égal à 84 mois.
84 = ENFER
7 = SEPT = 19x5x16x20 = 30400
Adolf Hitler est mort un 30 4 (30 avril).
Nicolas Batum a porté le numéro 88 avec Portland pendant 7 ans.
88 = HH
HH est le sigle de Heil Hitler, le salut nazi.
Dieu te fait comprendre que si tu donnes les ARMES aux nazi-capitalistes le jour de l'élection présidentielle, tu seras responsable de la mort de millions d'êtres humains donc tu descendras l'ÉCHELLE pour aller directement en ENFER.
Ton bulletin de vote est une ARME alors ne NIE pas les signes car à travers le chiffre 7, Dieu te demande de tuer Adolf Hitler et non de lui donner les ARMES entre les mains pour exterminer des dizaines de millions d'innocents durant 5 ans. Nicolas Batum a ensuite joué avec l'équipe de Charlotte en NBA et il portait le maillot numéro 5 donc Dieu précise que tu dois tuer Adolf Hitler avec les 5 doigts de ta main qui tiendront le bulletin de vote du NPA le jour de l'élection présidentielle. À travers BATUM, Dieu te dit : « BATS-TOI et tu pourras un jour ouvrir la sublime PORTE du paradis ».
Immédiatement après le tremblement de terre en Arménie, la centrale nucléaire de METSAMOR fut arrêtée par mesure de sécurité.
Une centrale nucléaire produit de l'électricité.
Si tu ignores les signes, Dieu coupera l'électricité et l'obscurité signera alors ta MISE A MORT.
Nicolas BATUM est né 7 jours après le séisme.
7 ans est égal à 84 mois.
84 = ENFER
Le traité de BATOUM a été signé un 4 juin.
4 juin = 46
En 2012, Nicolas BATUM a signé un contrat de 46 millions de dollars sur quatre ans avec l'équipe de PORTLAND.17
Ces 46 millions de dollars pourraient sauver des dizaines de milliers de vies humaines donc Dieu fait comprendre à Nicolas que s'il décide de garder égoïstement sa fortune, il ira en ENFER et il n'ouvrira jamais la sublime PORTE du paradis.
La première série d'actes criminels de grande ampleur perpétrés contre les Arméniens a eu lieu en 1894 après les incidents de SASSOUN qui ont déclenché le massacre de plus de 200 000 Arméniens.
SASSOUN se trouve dans la province turque de BATMAN.
Le surnom de Nicolas BATUM est « BATMAN ».
Dieu multiplie les signes pour mettre en lumière Nicolas BATUM car il te révèle à travers lui que tu iras au paradis si tu te BATS pour sauver tes frères et sœurs de l'extermination, mais à l'inverse, tu iras en ENFER si tu laisses le nazi-capitalisme les exterminer.
Nicolas BATUM PORTE également le maillot numéro 5 avec l'équipe de France.
Dieu te fait comprendre que tu dois te BATTRE contre le nazi-capitalisme avec les 5 doigts de ta main qui tiennent le bulletin de vote.
Si tu suis les signes, tu ouvriras la PORTE du paradis.
Le sigle de l'Equipe De France est EDF.
EDF produit de l'électricité.
L'électricité symbolise la lumière.
EDF = 5x4x6 = 120
Le 120e jour de l'année est traditionnellement le 30 avril qui célèbre la fin du IIIe REICH.
Tu vivras éternellement à la lumière si tu rejoins l'équipe de France humaniste – en luttant pour mettre un terme au règne du RICHE afin de partager équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain.
BATUM = MU
À l'instar d'une chenille qui MUE pour se transformer en papillon, Dieu te demande de MUER pour un jour déployer tes AILES.
MUER signifie arrêter de voter pour l'extermination de tes frères et sœurs, ou alors te rendre à un bureau de vote si tu n'as jamais pris l'habitude d'y aller car tu ne dois pas continuer à rester les bras croisés pendant que les nazi-capitalistes s'enrichissent en exterminant des millions d'enfants innocents. Ne sois pas une larve mais bats-toi puisque c'est l'immortalité qui t'attends au bout.
Nicolas BATUM a intégré la NBA lorsqu'il a été sélectionné en 25e position de la draft par l'équipe de Houston, avant d'être envoyé à Portland.
Dieu te montre le chemin à suivre à travers le chiffre 25 car le chef-lieu du département 25 est la ville de BESANCON, ce qui signifie que tu dois te BATTRE pour sauver la vie de ton prochain en votant pour le parti politique d'Olivier BESANCENOT lors de la prochaine élection présidentielle.
Charles Francis RICHTER est un sismologue américain qui a donné son nom à l'ÉCHELLE de Richter, l'instrument de mesure de l'amplitude d'un séisme.
Le séisme arménien en 1988 fut d'une amplitude de 6,9 sur l'ÉCHELLE de RICHTER.
1988 = 88
88 = HH = l'ÉCHELLE
HH est également l'abréviation de Heil Hitler, le salut nazi.
RICHTER = REICH TR
Dieu nous fait comprendre que nous vivons sous le TR OISIEME REICH parce que nous sommes endoctrinés par un régime totalitaire. Ainsi, si un séisme ravage une ville en entraînant la mort de 16 000 enfants, les médias en parleront pendant des jours et les citoyens du monde entier se cotiseront pour venir en aide aux survivants, mais lorsque 16 000 enfants sont exterminés quotidiennement par le RICHE qui refuse de partager ses richesses, les citoyens du monde entier restent indifférents devant ce massacre, ils ne se cotisent pas pour venir en aide aux futures victimes. Or, pour leur défense, à la différence des victimes d'un séisme, ils ne voient jamais lors du journal de 20H les images des pays ravagés par la catastrophe capitaliste, ils n'ont ainsi jamais vu de bidonvilles et de cadavres d'enfants morts de pauvreté. Si les médias ne parlaient jamais des séismes meurtriers, aucun citoyen ne se cotiserait pour venir en aide aux survivants, n'ayant pas été mis au courant qu'il y a eu un séisme, donc ils ne pourraient pas éprouver de la compassion envers les victimes à partir du moment où ils ne les auraient jamais vu. Le séisme à Haïti en 2010 a fait 300 000 morts et en terme de victimes, la catastrophe capitaliste équivaut à 33 séismes d'Haïti par an mais les journaux télévisés ne vous en parle pas, car contrairement à la médiatisation du séisme d'Haïti, la médiatisation des victimes de la catastrophe capitaliste remettrait considérablement en cause le règne du système capitaliste et le RICHE ne pourrait plus accaparer aussi facilement la majeure partie des richesses de la Terre, alors il cache quotidiennement les ravages du capitalisme dans des médias qu'il contrôle. Voilà pourquoi Dieu nous fait comprendre que nous vivons sous le TROISIÈME REICH, un régime totalitaire qui endoctrine et extermine à grande ÉCHELLE.
RICHTER = REICH TR
TR = 20+18 = 38
Le département 38 est celui de l'ISÈRE.
ISÈRE = MISÈRE
Dieu nous révèle que la MISÈRE ravage les pays du Tiers Monde à l'instar d'un séisme qui ravage une ville entière mais vous ne le voyez jamais à la télévision puisque le RICHE cache les victimes de la catastrophe capitaliste – pour préserver un système économique qui lui permet de régner sur le monde.
Le chiffre 38 est également symbolique car en 1964, 38 témoins sont restés immobiles devant le meurtre d'une jeune femme à New-York. L'immeuble dans lequel cette femme a été tuée s'appelait l'immeuble TUDOR.
Dieu te fait comprendre que TU DORS étant donné que tu vis sous le TROISIÈME REICH donc les nazis qui dirigent le pays t'ont complètement endoctriné en t'imprimant dans le cerveau que des êtres humains qui meurent lors d'un séisme est une tragédie alors que des millions de personnes qui meurent de pauvreté est quelque chose de normal, de naturel, puisqu'il n'y aurait pas d'autre alternative, alors qu'1 % de la population mondiale accapare plus de 75 000 milliards de dollars. Alors réveille-toi, il y suffisamment de richesses sur Terre pour sauver les millions d'êtres humains exterminés par la pauvreté mais le RICHE les a accaparé. Notre mission sur TERRE est de prendre le contrôle de ces richesses pour permettre à tous les hommes dans le monde de vivre dignement.
À travers RICHTER qui symbolise une ÉCHELLE, Dieu te montre que tu dois combattre le TROISIÈME REICH pour monter l'ÉCHELLE qui mène au paradis.
Charles Francis RICHTER est né 39 jours après Raphael Lemkin : l'inventeur du mot GÉNOCIDE.
39 se prononce 30 9.
212 jours séparent le 30 9 (30 septembre) et le 30 avril qui célèbre la fin du IIIe REICH.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Dieu nous révèle ainsi que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis, la nouvelle Alliance nous impose de lutter afin de mettre un terme au GÉNOCIDE des pauvres, en empêchant le RICHE de voler l'argent sur TERRE.
Le génocide arménien a débuté en 1915 mais des prémices au génocide ont eu lieu 20 ans auparavant, entre 1894 et 1896, lorsque le sultan Abdulhamid a fait massacrer entre 200 000 à 250 000 Arméniens.
Le sultan Abdulhamid est mort le 10 février 1918 (10 2 1918).
10x2x1918 = 38360
RICHTER = RICHE TR
TR = 20+18 = 38
20x18 = 360
TR = 38360
À travers RICHTER, Dieu associe le RICHE au sultan Abdulhamid qui sont tous les deux des massacreurs de peuples.
RICHTER symbolise le séisme, c'est-à-dire une catastrophe donc Dieu associe RICHTER au RICHE car ce dernier est la plus grande catastrophe de l'humanité.
À travers le sultan Abdulhamid, Dieu met en lumière les massacres, la TURQUIE et l'ARMENIE parce qu'il nous fait comprendre que nous vivons dans une ÈRE QUI TUE un enfant toutes les 5 secondes étant donné que les électeurs donnent une ARME au riche le jour de l'élection présidentielle en lui permettant d'accaparer la majeure partie des richesses de la Terre, et cette ARME extermine ainsi des millions de pauvres chaque année, mais le riche NIE sa responsabilité dans ce massacre, et vous verrez, dans des médias qu'il contrôle, il vous fera croire qu'il n'y est pour rien en vous racontant que des enfants meurent de faim dans le cadre de conflits dont il n'est pas responsable ou encore que les pauvres meurent à cause de dictateurs corrompus. Il trouvera mille excuses pour vous endoctriner, le RICHE possède un don pour ça, à l'instar des notables de la ville de BOURGES qui ont réussi à amadouer Vercingétorix afin qu'il ne brûle pas leur ville lors de la guerre des Gaules, et ce fut l'une des raisons de notre défaite alors ne vous faites pas amadouer par le RICHE, c'est un menteur pathologique. Les signes ne mentent pas donc faites confiance à Dieu quand il vous dit que le RICHE est un massacreur de peuple car sa cupidité extermine bel et bien des millions d'êtres humains chaque année.
L'épicentre du séisme en Arménie se situait à Gyumri.
Gyumri se situe dans la région de SHIRAK.
SHIRAK se prononce comme le nom CHIRAC.
Après les résultats du premier tour de l'élection présidentielle de 2002, les médias ont parlé d'un « SÉISME » politique lorsque Jean-Marie Le Pen est arrivé au second tour de l'élection présidentielle au côté de Jacques CHIRAC.
À travers le séisme en Arménie, Dieu associe Jacques SHIRAC à un SÉISME meurtrier car sa victoire à l'élection présidentielle en 2002 a provoqué une véritable catastrophe qui a tué des dizaines de millions d'êtres humains dans les pays du Tiers Monde.
En effet, durant 5 ans, Jacques Chirac a permis aux entreprises du CAC 40 d'accaparer 392 milliards d'euros de bénéfices dont environ la moitié a été reversé à leurs actionnaires, or avec cet argent, nous aurions pu sauver la vie de dizaines de millions d'êtres humains dans les pays du Tiers Monde, par conséquent, l'élection de Jacques SHIRAC a provoqué une véritable catastrophe, un SÉISME, dans les pays du Tiers Monde. Et étant donné que nous vivons sous le IIIe REICH, vous n'avez vu aucune des victimes lors des journaux télévisés.
J'ai voté pour CHIRAC au second tour donc j'ai donné une ARME aux capitalistes afin de leur permettre d'accumuler un trésor de guerre de plusieurs centaines de milliards d'euros, mais j'ai NIÉ ma responsabilité dans le massacre de millions de vie humaines puisque je ne me rendais pas compte que mon bulletin de vote était une ARME à feu.
Le CAC 40 est le principal indice boursier de Paris et il a vu officiellement le jour le 15 juin 1988, soit 6 mois avant le séisme en Arménie.
CAC40 = 3x1x3x40 = 360
RICHTER = RICHE TR
TR = 20x18 = 360
RICHTER symbolise le SÉISME, c'est-à-dire une catastrophe.
À travers le chiffre 360, Dieu associe le CAC 40 à une catastrophe puisque les RICHES actionnaires des entreprises du CAC 40 accaparent une fortune alors que nous pourrions sauver la vie de millions d'êtres humains chaque année avec cet argent.
Le CAC 40 a vu le jour en 1988.
88 = HH = l'échelle
Dieu met en lumière l'ÉCHELLE de RICHTER car il nous fait comprendre, à travers les bénéfices des entreprises du CAC 40, que le RICHE accapare actuellement une immense fortune à une ÉCHELLE jamais vue dans l'histoire de l'humanité.
Le CAC 40 a vu officiellement le jour le 15 juin 1988 (15 6 1988).
15x6x1988 = 178920
178920 = 1789 20
La Révolution française a eu lieu en 1789 donc Dieu nous demande de faire la révolution en expropriant les rois du CAC 40 de l'économie afin de mettre un terme à la monarchie capitaliste.
178920 = 1789 20
20 = VIN
L'Alliance du VIN avec Jésus a laissé le pouvoir politique entre les mains de César, et aujourd'hui, César est l'actionnaire du CAC 40 car c'est lui qui dirige la France, c'est lui qui mène des guerres impérialistes en Irak, en Syrie, en Centrafrique ou au Mali afin de préserver ses intérêts économiques ou agrandir son empire, donc Dieu remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU et il nous demande dorénavant de faire la révolution pour renverser le pouvoir de César.
CESAR = RACES
« RACES » signifie « COURSES » en anglais.
UMP = PMU
Le PMU symbolise les COURSES HIPPIQUES.
CESAR PIQUE notre argent puisque ce sont les travailleurs qui lui permettent d'accaparer une fortune, alors il les exploite pour se bâtir un empire et il peut le faire grâce aux partis politiques comme l'UMP, qui mettent tout en œuvre pour qu'il puisse mener sa COURSE au profit.
L'UMP a été fondé en 2002 et ce parti politique fut au pouvoir de 2002 à 2012.
De 2002 à 2012, les entreprises du CAC 40 ont réalisé des bénéfices nets annuels de :
2002 : 20 milliards d'euros
2003 : 37 milliards d'euros
2004 : 57 milliards d'euros
2005 : 86 milliards d'euros
2006 : 97 milliards d'euros
2007 : 95 milliards d'euros
2008 : 65 milliards d'euros
2009 : 44,7 milliards d'euros
2010 : 82,3 milliards d'euros
2011 : 73,8 milliards d'euros
2012 : 53,2 milliards d'euros
Soit 711 milliards d'euros en 10 ans. (Chiffres indiqués sur Wikipédia).
Jamais dans l'histoire de l'humanité, les profits des capitalistes n'ont atteint une ÉCHELLE aussi grande et c'est grâce au néolibéralisme dont l'un des pères, Milton Friedman, a reçu le prix Nobel d'économie en 1976.
Charles RICHTER est né le 26 avril 1900 (26 4 1900).
26x4x1900 = 197600
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous dit : « regardez » l'année 1976, il y a un signe.
19x76 = 1444
14x44 = 616
Le CAC 40 a vu officiellement le jour en 1988, l'année où a eu lieu le séisme en Arménie dans la région de SHIRAC.
Jacques CHIRAC a quitté le pouvoir en 2007 et cette année-là, les entreprises du CAC 40 ont engendré 95 milliards de bénéfices, un record.
Pendant les 10 ans de règne de l'UMP, les entreprises du CAC 40 ont engendré 717 milliards d'euros de bénéfices et si nous enlevons les 95 milliards d'euros en 2007, nous obtenons le chiffre 616.
Le chiffre 616 est symbolique car le chiffre de la Bête est le 666 mais certains manuscrits comportent le nombre « 616 » ou encore « 665 ».
En associant le chiffre 616 aux bénéfices du CAC 40, Dieu nous fait comprendre que le capitalisme est le pouvoir de la Bête, c'est-à-dire le pouvoir du diable.
Je rappelle le signe initial : Charles RICHTER est né le 26 avril 1900 (26 4 1900).
26x4x1900 = 197600
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous dit : « regardez » l'année 1976, il y a un signe.
19x76 = 1444
14x44 = 616
Dieu associe ainsi les chiffres 1976 et 616.
L'année 1976 est symbolique car cette année-là, Milton Friedman a reçu le prix Nobel d'économie, et avec l'économiste Von Hayek, Friedman est le père du néolibéralisme dont le message central est : « enrichissez-vous ». C'est d'ailleurs après la conversion de la France au néolibéralisme que le CAC40 a vu officiellement le jour, et les entreprises du CAC 40 ont ainsi vu leurs profits se démultiplier.
Le néolibéralisme a permis aux capitalistes d'accaparer l'ensemble des biens communs de la Terre : l'eau, l'énergie, le vivant et tous les secteurs qui présentent un profit potentiel : la connaissance, la santé, l'éducation, la sécurité collective, la protection civile...
Par conséquent, Dieu associe l'année 1976 à RICHTER et Milton Friedman parce qu'il nous montre que le néolibéralisme a permis au RICHE d'accaparer la TERRE et ce fut une véritable catastrophe : des dizaines de millions d'êtres humains étant morts de pauvreté chaque année alors qu'ils auraient pu êtres sauvés avec les richesses nouvellement créées.
Le chiffre 616 symbolise la Bête mais plus généralement le diable, donc en associant ce chiffre avec l'année 1976, Dieu nous révèle que le diable dirige la TERRE car le RICHE en a pris le contrôle.
J'ai expliqué précédemment, dans la partie consacrée à l'Allemagne, que le joueur de basket Robert PARISH a été sélectionné en 8e position lors de la draft NBA en 1976.
PARISH se prononce PAS RICHE.
8 = H
La lettre H symbolise une ÉCHELLE.
À travers Robert PARISH, Dieu associe l'ÉCHELLE, le RICHE, et l'année 1976.
Dieu te montre que tu ne dois PAS être RICHE si tu veux monter l'ÉCHELLE qui mène au paradis et tu dois par ailleurs combattre le RICHE qui a pris le contrôle de la TERRE.
ROBERT PARISH = ROBERT
Tu dois ainsi empêcher le RICHE de DÉ-ROBER les richesses de la TERRE.
Robert Parish a joué pendant 14 ans pour l'équipe de BOSTON et il portait le numéro 00.
Dieu te révèle qu'il est TON BOSS et ce signe (00) symbolise ses yeux car il te regarde à chaque instant.
Ce signe (00) symbolise également le nombre 197600 obtenu avec la date de naissance de RICHTER.
Robert Parish a été drafté en 1976.
À travers le prix Nobel reçu par Milton Friedman en 1976 : l'année 1976 symbolise le néolibéralisme et ainsi la course aux RICHESSES, donc à travers Robert PARISH, drafté en 1976, Dieu te fait comprendre que tu ne dois PAS être RICHE si tu veux monter au paradis. Tu dois alors faire un PARI en misant sur Dieu ou sur la religion du dieu Argent, et si tu fais le bon choix, tu monteras l'ÉCHELLE pour entrer au paradis.
Cette ÉCHELLE est symbolisée par le H dans PARISH – donc fais le bon PARIS.
D'ailleurs le Loto est né en 1976, alors PARI sur le bon numéro le jour de l'élection présidentielle, et Dieu te donnait un indice car en 2017, nous avons élu le 25e président de la République, et le chef-lieu du département 25 est la ville de BESANCON, ce qui signifiait que tu devais PARIER sur le numéro 25 le jour de l'élection, et ce numéro c'était le candidat du parti politique d'Olivier BESANCENOT, en l'occurrence Philippe Poutou.
Robert Parish est le joueur ayant disputé le plus de matchs en NBA donc il y a joué une éternité et Dieu te révèle à travers lui que tu vivras éternellement si tu rejoins le NPA le jour de l'élection présidentielle, afin que toutes les richesses soient équitablement redistribuées entre chaque être humain.
Robert Parish a terminé sa carrière à l'âge de 43 ans avec l'équipe de Chicago.
43 = DC
D C se prononce DÉCÉS.
Miton Friedman est la figure emblématique de l'École de Chicago donc si tu PARIS sur le néolibéralisme et les théories de l'École de Chicago le jour de l'élection présidentielle, tu signeras ton acte de DÉCÈS.
Le séisme en Arménie s'est déroulé le 7 décembre 1988 (7 12 1988).
7x12x1988 = 166992
166992 = 69 69 12
(69+69) x12 = 1656
Selon la chronologie de James Usherr, le Déluge a eu lieu 1656 ans après la naissance d'Adam.
Le Déluge a duré 40 jours et 40 nuits.
40 = CAC 40
Le séisme en Arménie fut un véritable Déluge, à l'instar des entreprises du CAC 40 qui ravagent les conditions d'existence de millions d'êtres humains en accaparant les richesses de la Terre.
James Ussher estime que Dieu créa le Ciel et la Terre le soir du 22 octobre 4004 av. J-C.
22x10x4004 = 880880
880880 = 8888 00
8888 = HHHH
Les quatre H assemblés symbolisent l'échelle de RICHTER car nous devons combattre le TROISIEME REICH capitaliste pour monter l'échelle qui mène au royaume de Dieu.
RICHTER = RICHE TR
TR = 20x18 = 360
CAC40 = 3x1x3x40 = 360
Dieu associe RICHTER au CAC 40 car le RICHE actionnaire du CAC40 accapare les richesses de la TERRE et c'est une catastrophe.
En effet, l'entreprise TOTAL est la plus RICHE société du CAC 40 et elle accapare les richesses du sous-sol de la TERRE ce qui provoque l'extermination de millions d'êtres humains chaque année, les actionnaires de TOTAL ne partageant pas l'argent du pillage avec les plus démunis ; ces derniers meurent alors de faim et de maladies. Vous ne voyez jamais les victimes à la télévision parce que nous vivons dans un régime TOTALITAIRE : le III REICH capitaliste. Le RICHE contrôle l'Éducation nationale et les médias ce qui lui permet d'endoctriner quotidiennement les citoyens tout au long de leur vie. Dieu multiplie ainsi les signes pour nous « déradicalier », le RICHE ayant réussi à endoctriner la quasi-totalité de la population.
CAC40 = CAC
C A C se prononce C'EST ASSEZ car Dieu nous demande désormais de nous révolter et ça passe par voter en faveur de L.O. et du NPA pour exproprier les RICHES actionnaires du CAC 40.
Le département 40 est celui des LANDES.
Nicolas BATUM a joué pendant 7 ans pour l'équipe de PORTLAND.
Dieu te fait comprendre que si tu veux ouvrir la PORTE du paradis, tu vas devoir te BATTRE pour exproprier les actionnaires du CAC40 afin que les richesses soient équitablement redistribuées.
C A C = C'EST ASSEZ
Nous devons redistribuer les richesses pour mettre un terme au GÉNOCIDE des pauvres qui se déroule sous nos yeux, donc Dieu associe le message « C'EST ASSEZ » aux 40 entreprises les plus riches de France car l'argent dont nous avons besoin, pour mettre un terme au GENOCIDE, se trouve avant tout dans les coffres-forts de ces 40 entreprises.
Le Pape François a été élu le 13 mars 2013 (13 3 2013).
20 = VIN
Dieu nous dévoile qu'il remplace l'Alliance du VIN par celle de l'EAU.
13/3/13 = AC C AC
A C C A C se prononce ASSEZ C'EST ASSEZ.
Comme je l'ai indiqué précédemment, l'ARMENIE est le premier État devenu officiellement chrétien sous le règne de TIRIDATE.
J'ai expliqué que le TIR symbolise le TIR de l'électeur qui assassine des millions de pauvres en votant pour un parti capitaliste le jour de l'élection présidentielle. Le TIR DATE ainsi du moment où l'électeur pose le bulletin de vote dans l'urne car ensuite, plus de 50 millions d'êtres humains seront assassinés en 5 ans.
Certains historiens soutiennent que la conversion de l'Arménie au christianisme date de 313.
313 = CAC
Dieu nous dit « C'EST ASSEZ » car à travers cette date qui symbolise la première conversion d'un État au christianisme, il nous demande de rompre avec la partie du dogme chrétien qui laisse le pouvoir politique entre les mains de César.
À travers le CAC40, Dieu nous fait comprendre que César est l'actionnaire du CAC40 puisque c'est lui qui dirige réellement le pays.
Le Pape François a eu 40 ans le 17 décembre 1976.
La mairie de Cholet, ma ville de naissance, a ouvert ses portes le 17 décembre 1976.
La mairie de Cholet est appelée la « machine à écrire » parce que l'édifice en a la forme.
Dieu prouve au Pape François qu'il m'a créé pour lui transmettre les nouvelles écritures : il doit désormais intervenir dans le pouvoir temporel pour combattre César, c'est-à-dire le riche actionnaire du CAC40 et plus généralement le capitalisme.
Le Pape François a eu 40 ans en 1976.
19x76 = 1444
14x44 = 616
Le chiffre 616 correspond aux 616 milliards d'euros de bénéfices générés par les entreprises du CAC 40 en 9 ans.
Lorsque j'ai mis en ligne ce site internet, l'OIT recensait 40 millions d'« esclaves modernes » dans le monde, et dans la Bible, les juifs mettent 40 ans à passer du statut d'esclaves à celui de liberté. Le chiffre 40 symbolise ainsi l'esclavage.
Effectivement, nous sommes soumis aux entreprises du CAC 40, elles font la loi dans notre pays et nous en subissons gravement les conséquences.
Le chef-lieu du département 40 est la ville de MONT-DE-MARSANT.
DE MARSANT = MARRE DE SANG
En septembre 2015, François Hollande a décidé d'engager l'armée française dans la guerre en Syrie afin que Total puisse retrouver ses profits d'antan. L'entreprise était présente dans le pays depuis 1988 mais la révolte contre Bachar el-Assad à partir de 2011 l'a obligé à cesser son activité, par conséquent, la France est intervenue militairement pour accélérer le mouvement afin de permettre à Total, mais également à Alstom et Lafarge, de renouer avec les profits dans la région. Ce sont ainsi les entreprises du CAC 40 qui dictent la loi et suite à l'engagement de l'armée française dans la guerre en Syrie, en représailles, des attaques terroristes ont eu lieu à Paris le 13 novembre 2015, et une MARRE de SANG a surgi d'un coup dans la capitale. Le chiffre 40 du CAC40 symbolise ainsi notre soumission envers ces entreprises qui font la loi étant donné que nous n'avons pas voté pour faire la guerre en Syrie, et le résultat fut une MARRE de SANG : les signes ne mentent pas, le RICHE est une catastrophe car il ne peut s'empêcher de multiplier les guerres impérialistes pour agrandir son empire, et il NIE ensuite faire la guerre pour s'enrichir, il nous dit au contraire qu'il désire aider les peuples opprimés à des milliers de kilomètres alors qu'il ne fait rien pour sauver les SDF qui meurent de froid l'hiver dans son pays ; donc ne croyez pas le RICHE, c'est un menteur pathologique.
Dieu dit ainsi clairement au Pape François : « C'EST ASSEZ », il est temps d'intervenir dans le pouvoir temporel pour empêcher César d'ensanglanter la planète et d'exterminer des millions d'êtres humains en accaparant la majeure partie des richesses de la Terre. Le Pape François doit commencer par dénoncer publiquement le GÉNOCIDE qui se déroule sous ses yeux et Dieu nous a envoyé un signe supplémentaire, lors du journal de VIN heures de France 2, le 12 avril 2015.
Ce jour-là, le Pape François a reconnu publiquement le GÉNOCIDE arménien et lors du journal de 20H de France 2, l'envoyé spécial en direct de Rome, Renaud Bernard, expliquait : « Les réactions s'enchaînent du côté turque puisque le gouvernement vient de déclarer les propos du Pape ''partiaux et inappropriés''. Un mot tabou pour les Turcs : "génocide". Jean-Paul II l'avait écrit mais François, lui, l'a prononcé ce matin depuis la basilique Saint-Pierre – solennellement, publiquement, en mondiovision – c'est une première et il est même allé plus loin en appelant implicitement la Turquie à reconnaître le génocide arménien. ''Laisser ou occulter une plaie, c'est laisser la plaie ouverte, laisser le mal c'est laisser la plaie ouverte'' : François l'a prononcé et c'est inacceptable selon Ankara (la capitale turque).(...) La Turquie est piquée au vif parce qu'en la matière le Pape n'est pas qu'un simple chef d'État, il est une autorité morale et ses jugements n'en sont que plus percutants. »
Sans transition, Laurent Delahousse ajoutait : « Merci Renaud. La question ''éco'' de ce dimanche avec François Lenglet. Le CAC 40 ne cesse de retrouver des couleurs : plus 20 % depuis janvier. Certains investisseurs ont retrouvé, on le comprend, le sourire. Je suis naïf si je dis que les entreprises nous apparaissent en pleine forme mais pourtant elles n'embauchent pas ? »
Le journal de 20H de France 2 a donc enchaîné avec un sujet consacré au CAC40 juste après évoqué la reconnaissance du génocide arménien par le Pape François.
Je rappelle le signe : l'Arménie est le premier État devenu officiellement chrétien au monde et des historiens soutiennent que la conversion au christianisme a eu lieu en 313.
313 = CAC
L'ARMENIE est ainsi le premier État devenu officiellement chrétien sous le règne de TIRIDATE IV.
Le christianisme a laissé le pouvoir politique entre les mains de César donc le TIR il DATE de là car César tue actuellement des millions d'êtres humains, en ayant pu acquérir la majeure partie des richesses de la Terre avec la bénédiction du christianisme. En votant pour César, l'électeur lui donne une ARME entre les mains et il NIE ensuite être responsable de l'extermination de millions de pauvres alors qu'il permet à César d'accaparer les richesses de la Terre.
313 = CAC
Les bénéfices phénoménaux engendrés par les actionnaires du CAC40 symbolisent ainsi l'inégale redistribution des richesses qui provoque la mort de millions de pauvres chaque année.
Le Pape François a été élu le 13 mars 2013.
13/3/13 = AC C AC
AC CAC = CAC
C A C se prononce C'EST ASSEZ.
Dieu transmet le message suivant au Pape François : « C'EST ASSEZ ! Il est temps de dénoncer publiquement le GÉNOCIDE perpétré par le système capitaliste. »
Dieu remplace ainsi l'Alliance du VIN par celle de l'EAU, donc le Pape doit intervenir dans le pouvoir temporel pour combattre César.
Le CAC 40 a vu officiellement le jour le 15 juin 1988 (15 6 1988).
15x6x1988 = 178920
178920 = 1789 20
La Révolution française a eu lieu en 1789.
20 = VIN
Dieu change le VIN en EAU. Il impose désormais au Pape François d'intervenir dans le pouvoir temporel afin de mener la révolution contre César, et aujourd'hui, César c'est le capitaliste, c'est l'actionnaire du CAC 40 qui dirige le pays et accapare une grande partie des richesses.
Le mot GÉNOCIDE a été forgé par Raphael Lemkin en 1943.
Raphael Lemkin est mort le 28 août 1959 (28 8 1959).
28x8x1959 = 438816
43+88+16 = 147
14 7 = 14 juillet
Le 14 juillet 1789 est le jour symbolique de la RÉVOLUTION française.
Dieu demande au Pape François de mener la RÉVOLUTION contre César en commençant par dénoncer publiquement le GÉNOCIDE des pauvres.
Le Pape François a reconnu publiquement le GÉNOCIDE arménien le 12 avril 2015 (12 4 2015).
12x4x20x15 = 14400
Pour le christianisme, le nombre 144 000 est éminemment symbolique, il est utilisé dans l'Apocalypse de Jean pour indiquer le nombre des élus.
Dieu fait comprendre au Pape François qu'il doit dénoncer publiquement le GÉNOCIDE perpétré par le système capitaliste afin que les électeurs prennent conscience qu'ils sont responsables d'un véritable massacre en votant pour ce système économique criminel. Le Pape doit ainsi guider les électeurs car seuls ceux qui combattront le système capitaliste, pourront un jour faire partie des élus.
Il manque un 0 à 144 00 pour obtenir le nombre 144 000.
Le chiffre 0 a la forme de la lettre O donc Dieu nous révèle que seule l'Alliance de l'EAU nous permettra de faire partie des élus.
Le Pape François doit ainsi changer le VIN en EAU.
Le message adressé au Pape est clair car il est né en 1936.
Jules César est mort en 44 av. J-C.
44x44 = 1936
Le Pape François doit donc dénoncer publiquement les crimes de César et le combattre politiquement.
C'est la raison pour laquelle le Pape François a reconnu publiquement le GÉNOCIDE arménien le 12 avril 2015 (12 4 2015).
12x4x20x15 = 14400
14400 = 144 00
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous montre (00) que César est responsable du GÉNOCIDE des pauvres.
Le Pape François a reconnu publiquement le GÉNOCIDE arménien le 12 avril 2015 – soit 18 jours avant le 30 avril qui célèbre la mort d'Adolf Hitler.
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler.
À travers le dirigeant du IIIe REICH, Dieu nous montre que le Pape François doit dénoncer publiquement le GÉNOCIDE des pauvres – perpétré par le RICHE qui accapare la majeure partie des richesses de la Terre.
Le Pape François a donc reconnu le GÉNOCIDE arménien le 12 avril 2015.
2015 = 20 15
20 = VIN
15 = O = EAU
Dieu remplace ainsi l'Alliance du VIN par celle de l'EAU qui nous impose de combattre politiquement César : le RICHE.
Lors du journal de 20H, le 12 avril 2015, France 2 a donc évoqué la reconnaissance publique du génocide arménien par le Pape François avant d'enchaîner sur le CAC 40.
Laurent Delahousse déclarait : « La question ''éco'' de ce dimanche avec François Lenglet. Le CAC 40 ne cesse de retrouver des couleurs : plus 20 % depuis janvier. Certains investisseurs ont retrouvé, on le comprend, le sourire. Je suis naïf si je dis que les entreprises nous apparaissent en pleine forme mais pourtant elles n'embauchent pas ? »
François Lenglet a répondu : « La Bourse est déconnectée de la réalité pour deux raisons : la première c'est que tout d'abord, toutes les Bourses mondiales connaissent une espèce d'euphorie qui est irrationnelle, artificielle. En Europe, aux États-Unis et au Japon, les banques centrales ont créé massivement de l'argent. Elles inondent les marchés financiers dans l'espoir de faire grimper les cours pour améliorer la confiance et rétablir l'économie. Les marchés connaissent une sorte d'ivresse et les vendeurs de whisky ce sont les banquiers centraux. »
Les banques centrales inondaient ainsi de milliards d'euros les marchés financiers alors que des enfants mourraient de faim et de maladies toutes les 5 secondes. Dieu nous donnait la preuve que nous étions clairement en présence d'un génocide, les banques ayant l'argent pour sauver chaque jour la vie de milliers d'enfants mais elles préféraient délibérément les laisser mourir.
Dix minutes avant le sujet consacré au CAC40, le journal de 20H de France 2 avait diffusé un reportage sur la mort d'un adolescent tué par un requin à la Réunion.
C'était la 16e attaque de requin depuis 2011 et la 7e attaque mortelle sur l'île. Le père d'Elio, le jeune garçon tué par le requin, déclarait trois jours plus tard : « Il faut réguler la population des requins ». Il demandait ainsi de tuer les requins parce qu'ils étaient trop nombreux et c'est la même chose avec le capitalisme : nous devons « tuer » les requins de la finance afin de sauver des millions d'enfants en plaçant la vie humaine avant le profit.
Le 12 avril 2015, France 2 n'a pas débuté le journal de 20H par l'annonce de la mort de ce jeune garçon à la Réunion ni par la reconnaissance publique du génocide arménien par le Pape François mais par une information hautement plus importante : la mort de l'exceptionnel Patrice Dominguez !
Qu'a donc pu faire cet homme pour recevoir les honneurs du journal de 20H ? Il a frappé dans une balle de tennis pendant plusieurs années et commenté des matchs sur France 2 ! Donc ce génie du XXe siècle a eu le droit à un vibrant hommage pendant 3 minutes dès le début du journal de 20H.
Sincèrement, est-ce bien sérieux de rendre un tel hommage à un journaliste sportif en « Une » du JT ? Cet homme était-il plus important que les autres ? Travailler pour France 2 ne justifiait pas de paralyser l'information pendant 3 minutes car nous sommes à chaque fois pris en otage par ces hommages inutiles et le flot de louanges est particulièrement ridicule.
Laurent Delahousse débutait ainsi le journal de 20H en déclarant : « Merci d'être avec nous. Avant de revenir sur l'ensemble de ces titres, hommage à un homme qui nous a quitté cet après-midi. Patrick Dominguez disparaît à l'âge de 65 ans. Il a eu plusieurs vies : numéro 1 du tennis français, entraîneur puis consultant, commentateur à la radio – sur Europe 1, RMC – mais aussi dans cette maison sur France Télévision où il nous a fait vivre avec passion les grands matches de Roland Garros. La passion, voilà probablement le mot qui le définissait le mieux et puis depuis quelques temps, le courage et la force de vivre et le sourire malgré tout, la maladie. Lionel Chamoulot qui a commenté le tennis pendant 27 ans à ses côtés, revient ce soir sur sa carrière. »
Lionel Chamoulot lui a ensuite rendu hommage en le glorifiant pendant 2 minutes et nous étions pris en otage car c'était inintéressant, cet homme n'avait strictement rien apporté à l'humanité, sans compter que c'était humiliant parce que Patrick Dominguez n'était pas supérieur à nous, et en attendant, France 2 nous parlait de la mort de cet ancien joueur de tennis, qui « a eu plusieurs vies », au lieu de nous parler de la mort quotidienne des 16 000 enfants tués par la pauvreté à cause d'une minorité d'individus qui RACKETTE la planète en accaparant la majeure partie de ses richesses. Si Patrice Dominguez avait lutté toute sa vie contre la pauvreté, j'aurais compris cet hommage, il aurait été un exemple pour tous les Français or ce bourgeois n'a pas combattu la pauvreté, au contraire, il idolâtrait à la télévision des joueurs de tennis qui s'exilent en Suisse pour payer moins d'impôts. Cet homme était tout sauf un exemple et il est hors de question que la bourgeoisie continue de glorifier ses membres les plus médiatiques lors du journal de 20H dès que l'un d'entre eux décède.
Le seul intérêt de la mort de Patrice DOMINGUEZ résidait dans le fait que « DOMINGO » signifie « DIMANCHE » en espagnol et Patrice DOMINGUEZ est mort un DIMANCHE donc Dieu envoyait un signe au Pape ARGENTIN dans sa langue maternelle, pour lui faire comprendre qu'il doit dénoncer publiquement le génocide des pauvres car les actionnaires du CAC40 et autres capitalistes RACKETTENT la planète en tuant ainsi des millions d'êtres humains chaque année – donc nous devons tuer ces requins le jour de l'élection présidentielle.
Le jeune de 13 ans tué par un requin à la Réunion s'appelle ELIO.
ELIO = LOI E
E = 5
Nous devons ainsi empêcher ces requins d'appliquer leur LOI, en les tuant le jour de l'élection présidentielle avec les 5 doigts de notre main qui tiennent le bulletin de vote.
Le 24 avril 2015, François Hollande était à Erevan, en Arménie, dans le cadre de la commémoration du centième anniversaire du génocide. Lors du journal de 20H de France 2, la journaliste Maryse Burgot – qui le suivait dans tous ses déplacements – expliquait dans le reportage couvrant cet événement : « Il y a 100 ans, un million et demi d'Arméniens étaient méthodiquement massacrés par les Turcs ottomans » et on voyait alors un extrait du discours de François Hollande à Erevan qui déclarait : « Déplacements forcés, déportations massives, exécutions sommaires et abandon des plus fragiles dans le désert ».
Maryse Burgot ajoutait en voix off : « François Hollande qui demande aux Turcs d'aller plus loin dans la reconnaissance de leur responsabilité ». François Hollande déclarait : « Il y a en Turquie des mots importants qui ont déjà été prononcés mais d'autres sont encore attendus », et Maryse Burgot précisait : « Ce mot c'est génocide, les Turcs ne l'ont jamais prononcé ».
Ainsi, François Hollande dénonçait dans ce discours l'horreur du génocide arménien : « Déplacements forcés, déportations massives, exécutions sommaires et abandon des plus fragiles dans le désert ».
Or le capitalisme provoque également « le déplacement forcé et la déportation massive de populations » car lors des six premiers mois de l'année 2015, 137 000 migrants étaient arrivés sur les côtes européennes et des milliers d'entre eux sont morts durant le trajet. Ces migrants fuyaient notamment la misère parce qu'en 2015, le capitalisme a permis aux 85 personnes les plus riches du monde d'accaparer autant d'argent que la moitié la plus pauvre de la population mondiale, par conséquent, des milliards d'êtres humains vivent dans la misère et certains d'entre eux n'ont pas d'autre choix que de migrer et ainsi mourir en mer. Ces migrants fuyaient également les guerres impérialistes menées par la France et ses alliés. Par ailleurs, François Hollande dénonçait dans son discours « l'abandon des plus fragiles dans le désert » or actuellement les millions d'enfants les « plus fragiles » meurent de faim chaque année car ils sont privés tous les soirs de « dessert », les capitalistes ayant accaparé leur nourriture en accaparant une bonne partie des richesses de la Terre. Ces millions d'enfants sont donc, comme le disait Maryse Burgot, « méthodiquement massacrés » par le système capitaliste et nous restons indifférents devant ces « exécutions sommaires ».
Il est donc temps de reconnaître publiquement ce GÉNOCIDE.
Lors du journal de 20H, France 2 a interviewé le Franco-Arménien Charles AZNAVOUR qui était présent à Erevan lors des commémorations du génocide.
Il portait des lunettes de soleil dont la valeur aurait probablement permis de nourrir plus de 10 enfants du Tiers Monde pendant un an, et la fortune de Charles AZNAVOUR permettrait de nourrir des dizaines de milliers d'enfants pendant plusieurs années, donc c'est à cause de la richesse des hommes comme AZNAVOUR que des millions d'enfants sont assassinés chaque année.
AZNAVOUR = AVOU NAZ R
R = 18
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler.
AZNAVOUR, aujourd'hui décédé, n'a jamais AVOUÉ publiquement qu'il était un NAZI. Sa fortune était une ARME qui aurait pu sauver des milliers d'enfants du génocide de la faim or il a NIÉ sa responsabilité dans ce massacre car il préférait s'enrichir.
Charles AZNAVOUR était un haut dignitaire NAZI puisqu'il a soutenu Nicolas Sarkozy lors de l'élection présidentielle de 2012. Il a donc soutenu publiquement un système économique qui extermine un enfant toutes les 5 secondes, voilà pourquoi Dieu nous fait comprendre que Charles AZNAVOUR n'a jamais AVOUÉ qu'il était un NAZI.
Je traduis les signes que Dieu nous envoie et je dis la vérité car RICHE = REICH.
Je ne suis pas sûr que Charles AZNAVOUR se rendait compte qu'il exterminait des enfants, en tout cas, il devait avoir un minimum de cœur vu qu'il a pris la parole dans les médias en septembre 2015 pour que les migrants soient accueillis en France ; or trois ans plus tard, il proposait de « faire un tri des migrants » afin de ne garder que les plus « utiles » d'entre eux, à la manière des NAZIS qui triaient les juifs dans les camps de concentration, gardant les plus « utiles » pour les faire travailler dans les camps, et envoyant les plus faibles dans les chambres à gaz. AZNAVOUR aurait donc dû AVOUER qu'il raisonnait comme un NAZI. À l'inverse, si les richesses étaient équitablement redistribuées à l'échelle de la planète, personne n'aurait besoin de migrer pour survivre, et des millions de personnes ne mourraient pas de pauvreté chaque année, par conséquent, le refus des riches de partager leur fortune entraîne tous les ans la mort de millions d'êtres humains, d'où la référence au mot « NAZI ».
Nous devons ainsi répartir équitablement les richesses pour mettre un terme au génocide et c'était le message que Dieu nous transmettait lors du journal de 20H de France 2, le 24 avril 2015.
En effet, dix minutes après avoir diffusé le reportage consacré à la commémoration du génocide arménien, le présentateur Julian Bugier déclarait : « L'économie maintenant. Quand un grand patron milliardaire se paie au Smic. Ce n'est pas une blague, c'est ce qu'a décidé Elon Musk, 43 ans. Il est Sud-Africain, installé aux États-Unis, fondateur de Pay Pal notamment et du constructeur de voitures TESLA. Et bien en plein débat sur les inégalités aux États-Unis, on apprend qu'il se rémunère au salaire minimum. Alors coup de pub ou vrai altruisme ? »
Un journaliste précisait ensuite dans le reportage : « Elon Musk est la 100e fortune mondiale avec 11,5 milliards d'euros en poche. Mais en 2014, ce patron a également décidé de se rémunérer à 32 000 euros par an ce qui correspond au salaire minimum de Californie : 87 euros par jour.
Un milliardaire qui se paie au Smic, le genre de nouvelle qui ne laisse pas indifférent.(…) Contrairement aux autres patrons, Elon Musk ne redistribue pas son salaire aux salariés mais à l'entreprise dans laquelle il réinvestit en permanence. TESLA est le premier constructeur de voitures électriques aux États-Unis. »
De retour en plateau, Julian Bujier déclarait : « Oui, je le disais, l'initiative, évidemment, interpelle en plein débat sur les inégalités salariales » – et s'adressant à la journaliste Margaux Manière présente sur le plateau, il ajoutait : « car c'est un fait, les patrons américains gagnent de plus en plus et les écarts entre le grand patron et le petit salarié sont de plus en plus importants. » La journaliste précisait : « Oui, les salariés américains gagnent en moyenne 25 600 euros par an et les patrons des plus grandes entreprises, un peu plus de 9 millions d'euros par an, c'est donc 354 fois plus que les employés et cet écart est de plus en plus important : il a été multiplié par 10 en 35 ans, l'exemple de TESLA est donc loin d'être une tendance. Et en France, avant une loi de 2001, les rémunérations des grands patrons n'étaient pas publiées mais ce que l'on sait aujourd'hui c'est que les salariés français gagnent en moyenne 28 200 euros par an contre près de 3 millions d'euros en moyenne pour les grands patrons : cette fois c'est 104 fois plus que les employés, la France est donc à la 7e place des pays qui connaissent les plus gros écarts de rémunérations mais nous restons bien loin derrière les États-Unis. »
Ainsi, lors du journal de 20H, le 24 avril 2015, France 2 nous apprenait que François Hollande avait demandé à la Turquie de reconnaître le génocide arménien dans le cadre du 100e anniversaire du génocide, et ensuite, nous apprenions que la 100e fortune mondiale avait décidé de se rémunérer au Smic.
Dieu mettait ainsi en lumière le chiffre 100.
100 = SANG
La 100e fortune mondiale, Elon Musk, a décidé de se rémunérer au Smic alors qu'il avait 43 ans.
43 = DC
D C se prononce DÉCÉS.
Actuellement, le DÉCÈS de millions d'êtres humains chaque année est dû au fait que les richesses ne sont pas équitablement redistribuées, or si tous les milliardaires et multimillionnaires de la Terre avaient été dès le départ rémunérés au Smic, la majeure partie des richesses mondiales aurait pu être équitablement redistribuée entre tous les habitants de la Terre et nous n'aurions alors jamais connu le GÉNOCIDE des pauvres.
Lors du journal de 20H, Dieu associait ainsi le 100e anniversaire du GÉNOCIDE arménien à la 100e fortune du monde qui se rémunérait au Smic parce qu'il nous faisait comprendre que nous mettrons un terme au GÉNOCIDE des pauvres en plafonnant les revenus de chacun pour que les richesses soient équitablement redistribuées entre tous. Dieu nous donnait ainsi l'ARME absolue pour mettre un terme au génocide – alors ne NIE pas les signes qu'il nous envoie et vote pour exproprier les capitalistes de l'économie et plafonner les revenus.
Dieu nous transmettait ce message à travers le patron de TESLA qui avait décidé de se rémunérer au Smic.
TESLA = 20x5x19x12x1 = 22 800
Sur le plateau du journal de 20H de France 2, la journaliste Margaux Manière nous apprenait que les salariés français gagnaient en moyenne 28 200 euros par an.
28 200 = 22 800
Les chiffres sont exactement les mêmes car à travers le patron de TESLA, Dieu veut nous faire comprendre que nous devons tous gagner exactement le même salaire.
TESLA = 22800
Le code postal 22800 est celui de la commune de QUINTIN.
Charles QUINT a régné sur l'un des plus grands empires de l'histoire donc Dieu nous montre que nous devons construire un monde dans lequel tous les habitants auront un revenu identique. Ne faire QU'UN signifie que nous devons tous gagner le même salaire, alors Dieu appelle les peuples à s'unir pour ne former QU'UN seul et même peuple car nous devons plafonner les revenus sur l'ensemble de la Terre afin que les richesses mondiales soient équitablement redistribuées entre tous. Je rappelle que si les richesses mondiales étaient réparties de manière égales entre tous et partout dans le monde, une famille avec trois enfants disposerait d’un revenu de 2.870 euros par mois et d’un patrimoine (épargne, valeur du logement…) de 125.000 euros : donc aucun être humain ne pourrait mourir de faim ou de maladies et personne ne migrerait en risquant sa vie pour trouver du travail.
QUINTIN = QUINT IN
IN = 9x14 = 126
Nous avons appris le 24 avril 2015 lors du journal de 20H de France 2 que le patron de TESLA avait décidé de se rémunérer au Smic
Quatre jours avant, le 20 avril 2015, Adolf Hitler fêtait ses 126 ans – étant né le 20 avril 1889.
À travers Adolf Hitler, Dieu mettait en lumière le GÉNOCIDE et il nous faisait comprendre avec le code postal de la commune de QUINTIN que nous mettrons un terme au GÉNOCIDE des pauvres lorsque les peuples ne feront QU'UN politiquement pour répartir équitablement les richesses entre chaque être humain.
Dieu nous envoyait ce message à travers le journal de 20H du 24 avril 2015.
24 avril = 24x4 = 96
Un cahier est composé traditionnellement de 96 pages.
Dieu nous révèle qu'il change les écritures, il nous demande désormais de créer le Ciel sur Terre, c'est-à-dire que nous devons créer un monde parfait dans lequel les richesses seront équitablement redistribuées entre chaque être humain.
2015 = 20 = VIN 15 = O = EAU
Dieu remplace ainsi l'Alliance du VIN par celle de L'EAU.
Adolf Hitler a fêté ses 126 ans, 4 jours avant le 24 avril 2015.
4 jours est égal à 96 heures.
Le chiffre 96 symbolise les pages d'un cahier, Dieu change ainsi les écritures.
JESUS DE NAZARETH = NAZ ARET
NAZ ARET = ARRET le NAZI
À travers Adolf Hitler, le dirigeant du III REICH, Dieu nous fait comprendre que le NAZI, c'est le RICHE puisque sa richesse extermine le pauvre.
Elon MUSK est le fondateur de TESLA.
MUSK = 13x21x19x11 = 57057
57057 est l'un des codes postaux de la ville de METZ.
METZ = METS
Un METS est un plat ou un aliment préparé lors d'un repas.
Dieu nous montre que nous devons redistribuer équitablement les richesses pour permettre à chaque habitant sur Terre de manger à sa faim.
MUSK = 57057
Dieu met particulièrement en LUMIÈRE le chiffre 57 – à travers le nombre 57057 – car il veut mettre en LUMIÈRE le chef-lieu du département 57 – METZ – qui symbolise le repas.
Elon MUSK a appelé son entreprise TESLA motor en référence à Nikola TESLA qui est considéré comme l’un des plus grands scientifiques dans l’histoire de la technologie, et ses travaux les plus connus et les plus largement diffusés portent sur l’énergie électrique, donc à travers l'électricité qui permet d'obtenir la LUMIÈRE, Dieu met en LUMIÈRE Elon MUSK et TESLA afin de nous faire comprendre que nous devons plafonner les revenus pour redistribuer équitablement les richesses. Si nous suivons à la lettre le message de Dieu, nous vivrons éternellement à la LUMIÈRE.
TESLA = 20x5x19x12x1 = 22 800
22 800 = 28 200
La journaliste de France 2 précisait que les salariés français gagnent en moyenne 28 200 euros par an.
28200 = 22800
Dieu met ainsi en lumière le nombre 22 800 car il nous fait comprendre que nous devons tous gagner cette somme-là, et à travers TESLA qui symbolise l'électricité et donc la LUMIÈRE, il nous révèle que si nous gagnons au maximum 22 800 euros par an, nous verrons la LUMIÈRE éternellement.
Gagner 22 800 euros par an signifie gagner 1 900 euros net par mois. C'est-à-dire qu'un couple doit gagner 3 800 euros par mois maximum et ce chiffre est bien évidement symbolique :
3800 = 38 00
Le département 38 est celui de l'ISÈRE.
ISÈRE = MISÈRE
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous montre (00) que dans le monde entier, si tous les couples gagnant plus de 3 800 euros net par mois redistribuaient aux pauvres les richesses supérieures à cette somme, nous pourrions éradiquer la MISÈRE dans le MONDE.
MONDE = M 15 14 4 5
15+14+4+5 = 38
Le département 38 est celui de l'ISÈRE.
MONDE = M+ISÈRE
MONDE = MISÈRE
Dieu nous donne ainsi la solution pour éradiquer la MISÈRE dans le MONDE, à travers le chiffre 38, car nous devons instaurer un plafond de revenus ne dépassant pas 3 800 euros net par mois, pour les couples, afin que tous les revenus supérieurs à cette somme soient équitablement redustribués entre chaque être humain.
Alors je vous conseille fortement, individuellement, de ne pas gagner plus de 1 900 euros net par mois si vous voulez obtenir la vie éternelle car le RICHE ne va pas au paradis et Dieu estime que nous sommes RICHES à partir de 2 004 euros net par mois.
En effet, à travers l'entreprise TESLA, Dieu nous demande de gagner au maximum 1 900 euros net par mois, et dans le journal de 20H de France 2, la journaliste précisait que les grands patrons français gagnaient en moyenne 104 fois plus d'argent que les salariés. En additionnant les chiffres 1 900 et 104, nous obtenons le chiffre 2004.
Adolf Hitler, le dirigeant du IIIe REICH, est né un 20 04 (20 avril).
Dieu nous révèle que nous sommes RICHE à partir de 2004 euros net par mois.
Il met en LUMIÈRE le chiffre 1 900 pour nous préciser que nous devons gagner au maximum 1 900 euros net par mois, donc à partir de là, c'est en fonction de votre situation personnelle. Si vous habitez à Paris ou élevez seul un ou plusieurs enfants, c'est souvent difficile de vivre avec 1 900 euros par mois alors Dieu met en lumière ce chiffre pour nous donner un ordre d'idée sur le revenu maximum que nous devons gagner pour aller au paradis, mais vous pouvez gagner plus si vous ne pouvez pas faire autrement. Dans la majorité des cas, un couple avec un ou deux enfants, qui vit en province avec plus de 3 800 euros net par mois, et qui possède environ une épargne de 20 000 euros, devront placer les revenus supérieurs à ces sommes sur notre futur compte en banque commun, collectif, dont j'ai expliqué le principe dans la partie consacrée à l'Allemagne.
TESLA = 20x5x19x12x1 = 22 800
TESLA symbolise la LUMIÈRE.
Gagner 22 800 euros par an revient à gagner 1 900 euros par mois.
Le chef-lieu du département 19 est la ville de TULLE.
TULLE = TUE LL
L L = DEUX L = DEUX AILES
Dieu te transmet le message suivant : « Je te TUE si tu gagnes plus de 1 900 euros par mois, mais si tu partages tes revenus supérieurs à cette somme, je te donnerai DEUX AILES dans le dos pour que tu puisses t'envoler un jour au paradis et vivre éternellement à la LUMIÈRE. »
Dans la Bible, Jésus nous révèle que les riches ne vont pas au paradis mais il n'a pas précisé à partir de quand nous étions riches. Dieu le précise désormais en nous faisant comprendre que nous devons gagner environ 1 900 euros net par mois pour obtenir la vie éternelle. Si nous ne partageons pas les revenus supérieurs à cette somme, il éteindra la LUMIÈRE le jour de notre mort sur Terre.
Par ailleurs, la journaliste Margaux manière précisait que les grands patrons français gagnaient en moyenne 104 fois plus d'argent que leurs salariés.
104 = 10 4
Le 10 4 (10 avril) est traditionnellement le 100e jour de l'année.
À travers le chiffre 104 – Dieu associe le chiffre 100 à la commémoration du 100e anniversaire du génocide arménien et à la 100e fortune mondiale qui avait décidé de se rémuner au Smic.
100 = SANS
À travers le chiffre 104 qui symbolise les inégalités sociales, Dieu nous demande de construire un monde SANS inégalités, c'est-à-dire un monde SANS RICHE – afin de mettre un terme au GÉNOCIDE des pauvres.
Elon Musk possédait alors une fortune estimée à 11,5 milliards d'euros.
Le 11 5 (11 mai) est le 132e jour d'une année bissextile.
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Dieu nous montre qu'en luttant pour partager équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain, nous obtiendrons les 2 AILES qui mènent au paradis.
Elon Musk est également le fondateur de l'entreprise SPACEX, spécialisée dans le domaine de l'astronautique et du vol spatial.
« SPACE » signifie « ESPACE » en anglais.
SPACEX = SPACE X
X = 24
24 se prononce 20 4.
Adolf Hitler – le dirigeant du IIIe REICH – est né un 20 4 (20 avril).
À travers SPACEX qui envoie des hommes dans l'espace, Dieu nous fait comprendre que sur Terre, c'est le RICHE qui s'envole dans l'espace. Il dépense ainsi des millions pour s'offrir quelques minutes de bonheur au lieu d'aider des familles à sortir de la pauvreté. Vous pouvez être sûr que le RICHE ne s'envolera jamais au paradis.
Le 11 juillet 2021, RICHARD Bronson est devenu le premier milliardaire à avoir effectué un voyage aux limites de l'espace à bord de son avion spatial.
À travers RICHARD Bronson, Dieu met en lumière le RICHE, car la religion du dieu Argent règne sur Terre et elle permet au plus RICHE de s'envoler dans l'espace.
RICHARD Bronson s'est envolé dans l'espace un 11 juillet – soit 144 jours avant le 2 décembre (2 12).
2 12 = 2 L = 2 AILES
144 se prononce 100 44.
Jules César est né en l'an 100 et mort en 44 av. J-C.
Contrairement à la religion du dieu Argent, Dieu nous montre que pour obtenir 2 AILES dans le dos et nous envoler un jour dans les étoiles : au paradis – la nouvelle Alliance nous impose de lutter afin de mettre un terme au règne de César : le RICHE – en votant pour le partage équitable des richesses de la Terre.
Entre 1994 et 2017, Bill Gates – le cofondateur de Microsoft – a été l'homme le plus RICHE du monde durant 18 ans.
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
REICH = RICHE
Bill Gates est né à SEATTLE.
SEATTLE = 19x5x1x20x20x12x5 = 2280000
2280000 = 22800 00
00 = ce sont des yeux.
Dieu nous montre (00) que la nouvelle Alliance nous impose d'éliminer le RICHE en fixant un plafond de revenus ne dépassant pas 22800 euros par an.
La ville de SEATTLE est surnomée « Rainy City » : « La ville de la PLUIE » en anglais.
La PLUIE symbolise l'EAU de la nouvelle Alliance.
À travers SEATTLE – la ville de naissance de l'homme le plus RICHE du monde ces dernières années – Dieu précise ainsi les termes de l'Alliance de l'EAU.
Dieu nous a envoyé un signe supplémentaire à travers le film PATER.
Lorsque j'ai évoqué l'attentat du 7 janvier 2015, j'ai expliqué que Dieu nous avait envoyé un message à travers la rue Nicolas APPERT où s'est déroulé l'attentat dans les locaux de Charlie Hebdo.
APPERT = PATER
« PATER » signifie « PÈRE » en latin.
La prononciation de la lettre « P » symbolise le mot PAIX.
Notre PÈRE, Dieu, nous donne ainsi la solution à travers le film PATER pour obtenir la PAIX dans le monde.
En effet, le film aborde la question du salaire maximum. L'acteur Alain Cavalier joue le rôle du Président de la République et il nomme l'acteur Vincent Lindon comme Premier ministre afin de faire passer une loi sur le salaire maximum au niveau national.
L'acteur Alain CAVALIER tient le rôle du président de la République qui veut réduire les inégalités.
J'ai expliqué précédemment que le CAVALIER est le capitaliste qui monte sur le dos du travailleur (le cheval) en le faisant galoper dans ses entreprises pour accumuler les richesses qu'il produit.
Mais en instaurant un plafond de revenus à ne pas dépasser, il n'y aura plus de CAVALIER car plus personne ne pourra accumuler les richesses, qui seront équitablement redistribuées entre tous.
Si nous avions vécu dans une société solidaire, égalitaire, la mère des frères Kouachi n'aurait pas été obligée de se prostituer pour survivre, elle aurait ainsi pu éduquer dignement ses enfants, ces derniers auraient eu une enfance plus heureuse et ils n'auraient probablement jamais commis quelques années plus tard un attentat dans la rue Nicolas APPERT puisque des jeunes qui vivent dans une société fraternelle ne deviennent pas des tueurs.
Ainsi, à travers le plafond d'un revenu à ne pas dépasser, Dieu nous donne la solution pour obtenir la PAIX.
Sur la jacquette du film PATER, figure la critique d'un journaliste du magazine Le Figaroscope qui écrit : « Prodigieux...et quasiment prophétique ».
Le film était effectivement prophétique car Alain CAVALIER, qui joue le président de la République, veut imposer un salaire maximum pour réduire les inégalités et il dit à un moment donné à son Premier ministre : « Et vous verrez que petit à petit cette idée qui va paraître absolument fracassante – petit à petit – risque de s'installer et si elle pouvait avoir tout à coup une valeur mondiale, que tout à coup ça réveille un tout petit peu le monde, ce serait formidable. »
Ces paroles sont prophétiques, « mon idée » d'imposer un revenu maximum de 2004 euros net par mois va au départ « paraître absolument fracassante » mais lorsque cette idée sera reprise et adoptée dans le monde entier, « ce sera formidable » étant donné que toutes les richesses seront équitablement redistribuées et les êtres humains vivront dignement partout dans le monde. Dieu a écrit le scénario dans ce sens-là mais le chemin sera très long avant de créer le Ciel sur Terre.
Alain Cavalier prononce ainsi dans le le film ces paroles prophétiques et immédiatement après les avoir prononcé, l'acteur Vincent Lindon prend la parole et on peut voir derrière lui, sur l'étagère, le nom de NICOLAS de STAEL écrit en grand sur un livre.
STAEL = 19x20x1x5x12 = 22800
Dieu met en LUMIÈRE le nombre 22800.
TESLA = 20x50x19x12x1 = 22800
TESLA = STAELE
Le film PATER aborde la question du salaire maximum et Dieu nous montre que ce salaire doit être de 22800 euros net par an.
Nicolas de STAEL a vécu en couple avec Jeannine Guillou : l'ex-femme d'Olek TESLAR.
TESLAR = TESLA R
R = 18
18 = AH = ce sont les initiales d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
REICH = RICHE
Elon Musk – le fondateur de l'entreprise TESLA – est actuellement l'homme le plus RICHE du monde.
TESLA = 22800
Dieu nous fait comprendre que la nouvelle Alliance nous impose d'éliminer le RICHE en fixant un plafond de revenus ne dépassant pas 22800 euros par an.
Je rappelle que lors du journal de 20H de France 2, le 24 avril 2015, nous avons appris que le PDG de TESLA avait décidé de se rémunérer au salaire minimum, et ensuite, la journaliste Margaux MANIÈRE précisait que les salariés français gagnaient en moyenne 28 200 euros par an.
28200 = 22800
Dieu nous fait comprendre que tous les êtres humains doivent gagner exactement le même salaire car c'est la seule MANIÈRE d'obtenir un jour la PAIX dans le monde. Si vous expropriez les capitalistes de l'économie et plafonnez les revenus de chaque citoyen, plus aucun pays ne mènera de guerres impérialistes pour piller les richesses de la Terre puisque les hommes n'auront plus le droit de s'enrichir, alors pourquoi voudraient-ils piller les ressources naturelles à des milliers de kilomètres de chez eux ? Si les États-Unis avaient plafonné les revenus de chaque citoyen à hauteur de 1 900 dollars par mois maximum, il n'y aurait pas eu de guerre en Irak en 2003 et l'État Islamique n'aurait ainsi jamais vu le jour. D'autre part, la pauvreté est le terreau sur lequel prospère le terrorisme islamiste donc la seule MANIÈRE de le combattre efficacement est d'éradiquer la pauvreté, en plafonnant les revenus de chacun sur l'échelle de la planète pour que toutes les richesses soient équitablement redistribuées entre chaque être humain. C'est la seule MANIÈRE d'obtenir la PAIX dans le monde : les signes ne mentent pas contrairement au RICHE qui contrôle les médias.
Par ailleurs, si nous apprenions les bonnes MANIÈRES à l'école, nos instituteurs nous enseigneraient que tous les être humains sur Terre doivent gagner exactement le même salaire car c'est la base fondamentale d'un monde civilisé ; mais l'école nous éduque mal étant donné que la République française déteste l'égalité, elle déteste le partage, elle déteste la fraternité, elle déteste la liberté : par conséquent, elle impose la dictature du plus fort et l'école se charge ainsi de nous transmettre les notions de compétition et de concurrence ; des millions d'enfants peuvent mourir de pauvreté dans le monde, l'école s'en moque, ce n'est pas son problème, elle nous forme seulement pour que nous devenions des guerriers prêts à servir l'Empire, et surtout ne pas nous donner l'envie de nous révolter contre le système capitaliste et ses inégalités sociales qui plongent des millions de Français sous le seuil de pauvreté et extermine des millions d'êtres humains dans le monde chaque année.
Dieu nous apprend désormais les bonnes MANIÈRES en mettant en lumière le chiffre 22800 qui symbolise le partage, l'égalité, la liberté, la fraternité, l'amour, la paix, soient l'inverse des valeurs que nous transmet la République française et ses bourgeois au pouvoir.
Ma mère est née un 22 août (22 8).
22800 = 22 8 00
À travers la personne qui m'a mis au monde, Dieu nous fait comprendre qu'il est notre père car il nous a tous mis au monde, et pour le rejoindre au paradis, il nous montre (00) que nous devons lutter afin de fixer un plafond de revenus ne dépassant pas 22 800 euros par an.
Ma mère est née en 1957.
Le chef-lieu du département 57 est la ville de METZ.
Un METS est un repas.
À travers le chiffre 22 800, Dieu nous donne ainsi la solution pour que chaque être humain puisse manger à sa faim.
Le code postal 22800 est celui de la commune de QUINTIN.
Dieu nous demande de ne faire QU'UN, c'est-à-dire que tous les peuples du monde doivent s'unir politiquement pour prendre le contrôle des richesses de la Terre, et les partager équitablement entre chaque habitant ou plutôt entre chaque citoyen car une fois unis politiquement, nous ne formerons QU'UN seul et même peuple ; nous appartiendrons alors à la même nation : la Terre. Il n'y aura plus de frontières.
Dieu nous a dévoilé son message à travers notamment NIKOLA TESLA, NICOLAS De STAELE et NICOLAS APPERT, donc Dieu met en LUMIÈRE mon prénom NICOLAS pour vous donner une preuve supplémentaire que je suis son messager ; je ne suis pas un charlatan, tous les signes sont cohérents alors faites moi confiance quand je vous dis que vous devez gagner environ 22 800 euros par an maximum pour obtenir la vie éternelle. Ce n'est pas un hasard si le code confidentiel de ma carte bancaire est notamment composé des chiffres 228.
Nicolas est un prénom d'origine grec qui signifie « la victoire du peuple » donc à travers la Grèce qui est le berceau de la démocratie, Dieu appelle les peuples qui le peuvent à prendre démocratiquement le pouvoir en main pour abolir la dictature de l'argent, en expropriant les capitalistes et en plafonnant les revenus : ce sont les deux mesures de base pour créer un monde fraternel.
Dans le film Pater, le président de la République souhaite que le salaire maximum soit 15 fois supérieur au salaire le plus bas et son Premier ministre souhaite qu'il soit au maximum 10 fois supérieur.
QUINTIN = QUINT NI
NI = 14 9
14 9 = 14 septembre
Alain Cavalier, qui joue le président de la République dans le film Pater, est né un 14 septembre. Nous devons ainsi prendre la place du président de la République pour fixer le salaire maximum et contrairement à la volonté d'Alain Cavalier dans le film, ce salaire ne doit pas être 15 fois supérieur au salaire le plus bas : chacun doit gagner exactement le même salaire, avec une différence seulement en cas d'heures supplémentaires. C'est le sens du mot QU'UN car nous serons UNIS seulement lorsque nous gagnerons tous le même salaire. Dans le film Pater, l'un des personnages déclare au cours du film : « Dans une entreprise, quand le dernier ouvrier non qualifié touche 50 fois moins que son patron, il y a quelque chose qui va pas. Il faut partager. Moi j'ai eu une affaire, j'ai toujours partagé et j'ai eu la PAIX, la PAIX. Je rentrais chez moi j'étais tranquille car je savais que quand ils rentraient chez eux, ils avaient du pognon, ils avaient ce qu'on avait : on partage. Il faut des trucs simples bon dieu, simples, accrochés, simples : ce sont des notions simples. Qu'est-ce qui gonfle les gens ? C'est d'entendre que le président de France Télécom, il s'embourbe un million et demi et en plus il a fait chier tout le monde parce qu'il en voulait deux fois plus. Combien il est payé le mec qui monte les fils en plein hiver pour aller débloquer les cas ? Combien il touche ? »
Ainsi, à travers ce film, Dieu nous indique la MANIÈRE à suivre pour avoir la PAIX et il met en lumière le nombre 22 800 car il nous révèle que ce montant constitue le revenu annuel à ne pas dépasser, c'est-à-dire 1 900 euros net par mois.
Or je pense qu'au départ il sera préférable d'instaurer un salaire maximum de 2 400 euros net par mois pour ne pas trop effrayer les Français, mais également parce que la vie est chère dans certaines villes et de nombreuses familles monoparentales auront du mal à joindre les deux bouts avec un seul salaire de 1 900 euros net par mois.
Dans le film Pater, Alain Cavalier et Vincent Lindon veulent ainsi instaurer un salaire maximum.
Les initiales de Vincent Lindon sont V L.
VL = 22x12 = 264
264 = 132+132
132 minutes sont égales à 2 heures 12.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Alain Cavalier est né un 14 septembre (14 9).
149 jours séparent le 2 décembre (2 12) et le 30 avril qui célèbre la mort d'Adolf Hitler : le dirigeant du IIIe REICH.
2 12 = 2 L = 2 AILES
Dieu nous montre que pour obtenir les 2 AILES qui mènent au paradis, la nouvelle Alliance nous impose de signer l'arrêt de mort du RICHE, en luttant pour partager équitablement les richesses de la Terre entre chaque être humain.
Il faudra un peu de temps avant que les Français adhèrent au plafonnement des revenus, d'autant plus que le RICHE qui contrôle les médias va tout faire pour décrédibiliser cette mesure. Dans le film Pater, le Premier ministre éprouve des difficultés à instaurer un salaire maximum, les citoyens n'y sont pas forcément favorables et il explique : « Je pense que c'est la base absolue et que si on règle cette histoire de salaire, les gens vont être mille fois plus heureux mais eux-mêmes ne me suivent pas donc ça rend fou. On devient impopulaire avec une chose pour faire du bien. C'est l'obstacle auquel je me heurte et qui me révolte, c'est la chose qui me rend fou. »
Le film étant prophétique, je pense que je vais rencontrer les mêmes difficultés que ce Premier ministre car une partie des Français ne me suivra pas alors que si chacun gagnait exactement le même salaire, les gens seraient mille fois plus heureux et je vais devenir impopulaire avec une chose pour faire du bien vu que l'instauration d'un revenu maximum à ne pas dépasser permettrait à tous de vivre dignement.
Nous verrons ainsi dans les prochaines années si le film Pater est prophétique.
Concernant le rapport des jeunes avec l'argent, l'un des personnages du film explique : « Les valeurs ne sont pas tout à fait les mêmes. Le pognon est phénoménalement attractif pour la jeunesse : phénoménalement ! Et bien gagner sa vie, c'est déjà formidable mais ce qui les fait vraiment ''bander'', pardonnez-moi l'expression, c'est le gros pognon, du gros pognon ; et les clips les plus vus sont épouvantables, c'est-à-dire que c'est de l'argent à flot, des femmes qui se contorsionnent... enfin, c'est vraiment une caricature, une caricature, mais ils aiment le pognon, il en veulent du pognon. Qu'est-ce qu'ils en pensent les jeunes de ça ? »
Effectivement, qu'est-ce qu'ils en pensent de ça les jeunes ? Sont-ils prêts à voter pour le plafonnement des revenus afin de vivre dans une société fraternelle ? Ou alors veulent-ils continuer à faire la compétition pour espérer gagner un jour « du gros pognon » ? Depuis les attentats de Paris, les hommes politiques des partis capitalistes ne cessent de mettre en avant les valeurs de fraternité et d'égalité qui seraient selon eux les symboles de notre République alors qu'eux même n'y croient même pas, donc si vous voulez gagner du « gros pognon » et vivre dans une société hypocrite, votez pour eux et leur société inégalitaire, mais si vous voulez vivre dans une société fraternelle, votez pour le mouvement humaniste et le plafonnement des revenus. En fonction du pourcentage de jeunes qui voudront continuer à gagner du « gros pognon », nous verrons à quel point la République française a réussi à polluer le cerveau de nos jeunes, et tout notre travail sera de les déradicaliser car ils sont endoctrinés par la religion du dieu Argent depuis leur naissance, alors nous allons créer une culture humaniste, anticapitaliste, solidaire, pour contrecarrer l'endoctrinement pervers du capitalisme.
Voilà pour la partie des signes consacrés à l'ARMENIE. Ainsi, à travers le plafonnement des revenus sur l'échelle de la Terre, Dieu nous donne l'ARME ultime pour mettre un terme au génocide des pauvres et obtenir la paix dans le monde, donc ne NIE pas les signes et vote pour l'humanisme afin de construire le Nouveau Monde.
Indépendance de l'Arménie
Avant même le coup d'État contre Gorbatchev, l'Arménie déclare sa souveraineté vis-à-vis de l'Union soviétique le 23 août 1990. Ter-Petrossian fonde un parti politique, le Mouvement national arménien, qui gagne les élections de 1990. Le nouveau parlement prend une série de mesures qui équivaut à une « désoviétisation » de fait de l'Arménie.
Le coup d'État contre Gorbatchev en août 1991 a entraîné l'effondrement de l'URSS. La grande majorité des Arméniens vont se déclarer en faveur de l'indépendance le 21 septembre 1991. Le 16 octobre, Levon Ter-Petrossian devient officiellement le premier président de la république d'Arménie.
Le 21 décembre suivant, l'Arménie rejoint la Communauté des États indépendants. À la suite de ces évènements, les conditions économiques sont défavorables voire déplorables : le pays se remet très difficilement du tremblement de terre de 1988 qui a causé de nombreux dégâts et souffre du blocus économique imposé par la Turquie et l'Azerbaïdjan suite au conflit du Haut-Karabagh.
Guerre du Haut-Karabagh
Le 30 août 1991 voit les autorités azéries annoncer l'indépendance nationale de leur pays. À cette date, le Haut-Karabagh est une région autonome à majorité arménienne rattachée à la RSS d'Azerbaïdjan. La région déclare à son tour son indépendance quatre jours plus tard, le 2 septembre, profitant ainsi de l'opportunité présentée par la loi soviétique relative à la solution des problèmes afférents à la sortie de l'URSS des Républiques fédérées (l'article III de cette loi précise que les peuples des Républiques et entités autonomes ont le droit de décider de leur maintien dans l'Union soviétique ou dans la République fédérée qui s'y attache et de choisir leur statut politique et juridique). L'Azerbaïdjan réagit à cette proclamation le 26 novembre 1991, considérant cette déclaration d'indépendance illégale et décrétant l'annulation du statut autonome de la région en question.
Dans le même temps, les autorités du Haut-Karabagh, soutenues par l'Arménie, prennent la décision d'organiser un référendum sur la question du statut d'État indépendant pour la région dans le but d'entériner par la voix du peuple le processus d'indépendance. Ce sera chose faîte le 10 décembre 1991, jour où l'écrasante majorité de la population du Haut-Karabagh exprime le souhait de se détacher de la toute nouvelle république azérie. Le conflit d'intérêt entre les deux partis mue naturellement en un conflit armé dont la période s'étendra de la fin de l'année 1991 au printemps 1994. Celui-ci est marqué par de grandes et intensives opérations militaires menées par les États impliqués et aidés en cela par leurs alliés respectifs : l'Arménie pour le Haut-Karabagh, la Turquie pour l'Azerbaïdjan. Ces aides sont toutefois, le plus souvent, de nature financière.
Un cessez-le-feu est établi et met fin à la guerre en mai 1994. Malgré les multiples rencontres entre les présidents arméniens et azéris censées relancer des négociations demeurant infructueuses, l'issue du conflit semble toujours lointaine et difficilement accessible. Toutes les tentatives de médiation entre les deux pays ont, en effet, échoué jusqu'à présent. Devenu impopulaire en raison de ses positions jugées trop conciliantes sur ce sujet, le président Levon Ter-Petrossian a été contraint de démissionner en 1997. Le président Serge Sargsian n'a aujourd'hui pas encore réglé la question. Les tensions sont toujours très vives pour le moment et la frontière arméno-azérie est fermée.
La situation actuelle
En 1998, Robert Kotcharian a été élu président de la République. Depuis, la situation du pays se stabilise bien qu'il y ait toujours un statu quo sur la question du Haut-Karabagh. Depuis la chute du régime soviétique, le Caucase est partagé entre deux groupes d'influences : l'axe Turquie - Géorgie - Azerbaïdjan soutenu par les États-Unis et l'axe Russie - Arménie - Iran. Cette opposition est particulièrement bien illustrée par le tracé de l'oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan destiné à fournir aux occidentaux du pétrole de la mer Caspienne. La situation de l'Arménie est cependant très inconfortable face à la montée en puissance de l'Azerbaïdjan grâce aux revenus du pétrole, aux propres difficultés de la Russie en Tchétchénie et dans le Daguestan et désormais face à la menace américaine pesant sur l'Iran.
Aussi l'Arménie tente-t-elle de s'appuyer sur ses autres atouts en se rapprochant de l'Europe (l'Arménie incorpore en 2000 le Conseil de l'Europe tout comme l'Azerbaïdjan) mais aussi de sa diaspora, force de lobbying à l'étranger : elle obtient davantage de liberté d'entreprendre des projets économiques dans le pays et le Dachnak, encore populaire parmi la diaspora, a ouvert très officiellement des bureaux à Erevan le 16 août 2005. De plus, l'Arménie a instauré le 26 février 2007 la double-citoyenneté afin de permettre à la diaspora d'obtenir la nationalité arménienne. Le pays est au 39e rang européen de développement humain, et au 83e rang mondial. En 2006, l'Arménie a célébré sa quinzième année d'indépendance.
Lors des élections présidentielles de 2008 qui aboutissent à l'arrivée de Serge Sargsian (HHK) au pouvoir, l'opposition avait crié au scandale et à la fraude massive. Selon les observateurs envoyés par l'OSCE, cette élection aurait pourtant grandement satisfait aux standards internationaux. Les partisans de Levon Ter-Petrossian ont néanmoins organisé des manifestations, violemment dispersées le 1er mars et ayant amené le nouveau président à décréter l'état d'urgence.18
Élection présidentielle de 2013
Elle s'est déroulée le 18 février 2013 et a vu s'affronter sept candidats, dont le Président sortant, Serge Sargsian, présenté par le Parti républicain d'Arménie et soutenu par son allié gouvernemental État de droit. Les principaux partis d'opposition représentés à l'Assemblée nationale (Arménie prospère, Congrès national arménien, Fédération révolutionnaire arménienne) n'ont cependant pas présenté de candidats, à l'exception d'Héritage. Les résultats délivrés par la Commission électorale centrale donnent dès le premier tour la réélection de Serge Sargsian, avec 58,64 % des votes ; le candidat arrivé second, Raffi Hovannisian (en), obtient 36,74 % des votes et conteste les résultats.
Les observateurs internationaux ont estimé que cette élection a démontré un « pas important vers le progrès » et a satisfait aux standards démocratiques, mais qu'elle « manquait de concurrence effective » en raison du nombre limité de candidats et de l'absence de candidats de certains partis influents (qui a pu provoquer l'apathie ou la méfiance chez les électeurs) ; de même, ils estiment que l'absence de débat direct entre les candidats ainsi que le niveau limité de journalisme critique a pu restreindre la capacité des électeurs à comparer les programmes. Ils notent par ailleurs que les libertés démocratiques ont été généralement respectées durant la campagne.19
Quelle “Révolution de velours” ?
Ayant débuté mi-avril 2018, des manifestations ont abouti à ce que Serge Sarkissian, qui avait été dix ans durant président de l’Arménie, quitte le poste de Premier ministre qu’il venait de se faire octroyer par le Parlement. En changeant juste de fauteuil, il pensait profiter du même tour de passe-passe qui avait si bien réussi en son temps à son protecteur russe, Poutine.
Il se serait donné l’image d’un démocrate n’effectuant que deux mandats présidentiels consécutifs, et respectant la Constitution à la lettre, tout en se réservant de pouvoir revenir à la tête de l’État lors de la prochaine présidentielle.
Si cela a réussi à Poutine, Sarkissian semble être tombé sur os, avec une population qui en avait plus qu’assez du régime actuel. D’où des manifestations répétées de dizaines de milliers de personnes, des chiffres impressionnants pour ce pays du Caucase ex-soviétique dont la population est de 3 millions d’habitants.
Officiellement, 30 % d’entre eux vivent dans la pauvreté. Le pays a perdu presque toute son industrie lors du dépeçage de l’Union soviétique. Les gens au pouvoir et des margoulins y ont fait main basse sur tout ce qu’ils pouvaient piller, tandis que des groupes occidentaux raflaient les entreprises agro-alimentaires. Et une partie de la population se voit contrainte d’émigrer, quand le salaire minimum est de 115 dollars et la pension de retraite moyenne de 85 dollars. Encore, ces chiffres officiels sont ceux de 2017, une année de relative croissance après des décennies d’appauvrissement.
Ces sacrifices ont longtemps été justifiés par les impératifs de la défense face à l’Azerbaïdjan. Les deux pays sont sur le pied de guerre depuis que l’Arménie a, lors du démembrement de l’URSS, rattaché à elle le Haut-Karabakh (peuplé surtout d’Arméniens mais relevant de l’Azerbaïdjan) et depuis qu’elle a coupé l’Azerbaïdjan de sa province du Nakhitchevan. Même avec la Géorgie voisine, elle aussi ex-soviétique, la situation est tendue. En effet la fin de l’URSS a fait qu’une minorité arménienne se trouve maintenant sous autorité de l’État géorgien, qui n’apprécie pas sa volonté de maintenir une certaine autonomie, comme du temps de l’URSS. Et il le fait payer à l’Arménie en n’ouvrant qu’un seul poste frontière routier avec elle, par où doit transiter la quasi-totalité des produits de première nécessité qu’importe l’Arménie.
Ce petit pays enclavé dépend de la Russie pour sa protection militaire, de sa diaspora aux États-Unis pour l’envoi de devises, de la douane de Géorgie, et d’équipes dirigeantes qui vivent dans l’opulence. Comment la population pourrait-elle ne pas vouloir en finir avec sa pauvreté et la corruption des gens au pouvoir ?
C’est en lui promettant cela, que le leader de l’opposition, Nikol Pachinian, a fait descendre des foules dans la rue. Malgré des tractations qui semblaient sur le point d’aboutir avec le parti de l’ex-président, majoritaire au Parlement, il n’est pas garanti que les choses se passent comme Pachinian l’espérait, car ceux qui accaparaient jusqu’alors la mangeoire étatique ne sont pas pressés même de la partager.
Quant à ce que la population peut en espérer, c’est une autre affaire. Rappelons-nous ce qui s’est passé quatre auparavant en Ukraine. Là-bas aussi, la population voulait en finir avec la misère et un pouvoir corrompu : des dirigeants ont changé, mais sans que s’améliore le sort des classes populaires, bien au contraire. Et il y a tout lieu de penser que, si elle l’emporte à Erevan, la prétendue « révolution de velours » n’annonce un avenir velouté que pour Pachinian, les politiciens qui le soutiennent et les nantis, mais pas pour le reste de la population. En tout cas, c’est le pari que font certains privilégiés arméniens : que tout change, pour que rien ne change...20
Haut-Karabakh : la guerre reprend
Le 27 septembre 2020, les bombardements ont repris dans le Haut-Karabakh. Cette petite région montagneuse du sud-Caucase, que se disputent l’Arménie et l’Azerbaïdjan, vit depuis trois décennies au rythme d’une guerre que l’on disait gelée, mais qui a déjà fait 30 000 morts.
Du temps de l’Union soviétique, le Haut-Karabakh, avec sa population très largement arménienne, était une région autonome de la république d’Azerbaïdjan. Quelques dizaines de kilomètres le séparaient de l’Arménie, sans que cela porte guère à conséquences, la division n’étant qu’administrative, au sein d’un ensemble étatique bien plus vaste où coexistaient des dizaines de peuples.
Dans l’URSS de la fin des années 1980, lorsque Gorbatchev et le pouvoir central furent de plus en plus contestés par les roitelets de la bureaucratie des diverses républiques, ceux d’Arménie et ceux d’Azerbaïdjan agirent comme tous leurs pareils. Pour renforcer leur position, ils posèrent en champions de la défense de « leur » nation, face à des minorités y vivant depuis des siècles, mais qu’ils disaient désormais étrangères, sinon ennemies.
Rejetant l’azérisation du Haut-Karabakh entreprise par le chef du Parti communiste d’Azerbaïdjan, les leaders arméniens de la région décidèrent de la rattacher à l’Arménie en 1988. Les bureaucrates azéris répliquèrent par un pogrom à Soumgaït, une ville industrielle, contre la population arménienne locale. La frontière du Haut-Karabakh se doubla de tranchées et de barbelés. Ses troupes commençant à annexer des territoires azéris voisins, un pogrom antiarménien encore plus meurtrier ensanglanta Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan, en janvier 1990.
L’URSS s’effondra fin 1991. En Arménie et en Azerbaïdjan, chaque camp procéda à un sinistre nettoyage ethnique : 400 000 Arméniens durent fuir l’Azerbaïdjan et l’on chassa 800 000 Azéris d’Arménie et du Haut-Karabakh. En furent victimes aussi les Azéris du Nakhitchevan, enclavé entre l’Iran et l’Arménie, auxquels les soldats et les nouvelles frontières interdisaient de se rendre librement à Bakou.
Ce qu’endurent et ont enduré les habitants de cette région est un exemple parmi tant d’autres – la guerre en Tchétchénie, en Ingouchie, etc. – des monstruosités qu’engendra l’effondrement de l’Union soviétique, et d’abord dans cette mosaïque de peuples qu’est le Caucase.
En 1994, un cessez-le-feu intervint au Haut-Karabakh. Puis en 2008 l’Arménie et l’Azerbaïdjan signèrent une déclaration appelant à un règlement pacifique. Mais les combats n’ont presque jamais cessé. Comme, en avril 2016, lors de la « guerre des quatre jours » qui fit une centaine de morts, ou plus récemment, en juillet dernier.
Depuis plus de trente ans, les dirigeants de l’Arménie ne cessent d’invoquer le Haut-Karabakh et les nécessités de la défense nationale pour souder derrière eux leur population, lui faire oublier et sa pauvreté et leur rapacité. L’Azerbaïdjan, avec ses ressources pétrolières, est mieux pourvu. Mais, avec la crise et l’effondrement de ses revenus pétroliers, ses dirigeants ont eux aussi besoin d’enivrer leur population de propos patriotiques. Ainsi le 15 juillet, quand ils ont organisé une manifestation à Bakou scandant « Le Karabakh, c’est l’Azerbaïdjan » et réclamant une intervention armée.
De grandes puissances leur en ont fourni les moyens. La Russie arme aussi bien l’Arménie, son alliée déclarée, que l’Azerbaïdjan, son partenaire sur les marchés mondiaux des hydrocarbures. Quant à la Turquie, qui rivalise avec le Kremlin au Proche-Orient, en Syrie, en Méditerranée orientale ainsi qu’en Libye, elle encadre et équipe l’armée de Bakou. Le chef de l’État turc, Erdogan, y trouvait son compte. Il en a profité, vis-à-vis de son opinion nationaliste, pour conforter son image sur le mode martial, quand il encensait « l’État frère » d’Azerbaïdjan qui combat « le terrorisme arménien ».
Autant dire que les soldats et civils qui mouraient à nouveau dans le sud-Caucase ne tombaient pas « pour le Haut-Karabakh », mais victimes de leurs dirigeants, qui voyaient dans la guerre un moyen de s’accrocher au pouvoir, et d’États luttant pour asseoir leur leadership régional, une rivalité qu’exacerbaient la crise de l’économie mondiale et ses répercussions dans ces pays.21
Un “cessez-le-feu”… qui prépare d’autres conflits
Le 9 novembre 2020, après six semaines de combats et des milliers de morts au Haut-Karabakh, les dirigeants des deux États ont signé un cessez-le-feu.
Présenté comme total, il succède à trois autres cessez-le-feu qui n’ont jamais pris effet. Le président russe Poutine, qui l’a parrainé, disait espérer que, cette fois, cela « crée les conditions nécessaires à un règlement durable » dans cette région.
Vu les réactions de part et d’autre, cela n’en prend guère le chemin. Et d’abord parce que cet accord, qui entérine les gains territoriaux des forces azéries au détriment de la république sécessionniste du Haut-Karabakh, ne peut que pousser les feux de l’irrédentisme arménien face aux « envahisseurs » azéris qui, pour leur part, n’ont pas récupéré toutes les terres qu’ils revendiquent.
Dans la capitale arménienne, sitôt connue, la nouvelle a mis le feu aux poudres. La foule a envahi et saccagé le siège du gouvernement et le Parlement, molestant son président et réclamant la démission du « traître », le Premier ministre Nikol Pachinian.
Les dirigeants de ce pays n’ont eu de cesse, depuis la fin de l’Union soviétique, de se disputer le titre de meilleur défenseur de la nation et de fixer comme objectif à la population l’unité derrière les Arméniens du Karabakh. Les échecs militaires de ce gouvernement pouvaient sceller son sort. Ironie de l’histoire, Pachinian avait pris le pouvoir en 2018 en surfant sur une révolte populaire contre les équipes dirigeantes de la période soviétique, en leur reprochant de mal défendre le Haut-Karabakh et en promettant de se rapprocher de l’Union européenne. À moins qu’il n’arrive à reprendre la main en déclarant sur un ton guerrier, comme au soir de l’accord : « Nous ne nous reconnaitrons jamais comme vaincus » face à l’Azerbaïdjan.
Aliev, le président azerbaïdjanais, a bien sûr fêté la « capitulation » de l’Arménie sans oublier de s’auto-congratuler : « J’avais dit qu’on chasserait les Arméniens de nos terres comme des chiens, nous l’avons fait. » Faire assaut de nationalisme et de xénophobie lui permettra-t-il d’attacher sa population au char du régime ? En tout cas, c’est le pari que faisait Erdogan en Turquie. Ayant aidé l’Azerbaïdjan à l’emporter sur le terrain, il a félicité Aliev, en soulignant tout ce que son succès devait au soutien militaire turc.
L’accord du 9 novembre intervenait alors que, Moscou ayant échoué à imposer la fin des hostilités dans son pré carré du Caucase, le ministre américain des Affaires étrangères venait d’organiser des pourparlers avec ses homologues arménien et azerbaïdjanais à Washington. Le Kremlin ne pouvait pas laisser la Maison-Blanche lui tailler des croupières dans son « étranger proche ». D’autant que la Turquie, protectrice de l’Azerbaïdjan, ne demandait qu’à renforcer son influence dans la région aux dépens de la Russie.
Celle-ci se voyait en outre menacée d’être entraînée directement dans ce conflit. Des tirs azéris sur l’Arménie venaient d’abattre un hélicoptère russe et son équipage. Et il y avait le bombardement de villes non plus seulement du Haut-Karabakh, mais d’Arménie, un pays lié à Moscou par un traité militaire. À ne pas réagir, le Kremlin risquait d’apparaître comme un allié militaire non fiable. Mais s’il ripostait, il risquait de mettre la main dans un engrenage et d’affronter l’armée turque, et non plus ses seuls supplétifs locaux.
Poutine a tranché le dilemme, en ne laissant d’autre choix à Pachinian que de signer un accord que celui-ci dit « incroyablement douloureux ».
Cet accord signe les pertes territoriales arméniennes. Certes, il ne refuse pas un Haut-Karabakh arménien séparé de l’Azerbaïdjan, mais il en rend les conditions d’existence encore plus précaires, dans un encerclement militaire quasi total. Quant aux droits des habitants, arméniens, kurdes, azéris, de ce petit territoire et de son pourtour, ils n’ont aucune place dans cet accord.
Autant dire qu’il ouvre un boulevard aux démagogues nationalistes de tout bord. Il prépare le terrain aux confrontations dans lesquelles ils trouveront profitables de lancer les peuples, afin de conforter leur pouvoir, ou dans lesquelles leurs parrains des grandes puissances pourraient entraîner les habitants de ces pays, chair à canon d’intérêts qui ne sont pas les leurs.22
Un pays très enclavé
L'Arménie est l'un des pays les plus enclavés au monde, en partie pour des raisons naturelles (aucune façade maritime, relief très montagneux et vallées encaissées, donc des pentes fortes difficilement franchissables, villages isolés), mais aussi, pour des raisons de manque d'infrastructures modernes de transports (routes et voies ferrées en pleine réfection), et surtout pour des raisons politiques. En fait, le pays a longtemps souffert d'être une marge de l'empire soviétique, limitrophe d'un tronçon du Rideau de fer (frontière soviéto-turque) ; désormais indépendante, l'Arménie est en conflit et n'entretient pas de relations diplomatiques (donc frontières fermées à tout trafic depuis plusieurs années) avec deux de ses voisins : Turquie, Azerbaïdjan et son enclave du Nakhitchevan. La frontière avec la Géorgie n'est qu'à demi-ouverte en raison des volontés autonomistes de la minorité arménienne vivant en Samtskhé-Djavakhétie (Djavakhk), dans la partie sud de la Géorgie. Sur 1 000 kilomètres de frontière que compte le pays, 834 sont fermés. La frontière avec l'Iran (35 km) reste, elle, praticable. Paradoxalement compte tenu du contexte politique actuel, c'est avec l'Iran que l'Arménie entretient actuellement les relations de voisinage les plus courtoises et les échanges économiques les plus importants. L'alliance russe est précieuse pour l'Arménie, mais la Russie actuelle n'a aucune frontière commune avec l'Arménie. L'aéroport d'Erevan est vital pour le pays, car c'est le seul moyen d'accès aisé reliant l'Arménie au reste du monde.23
Sources